Tendresse paternelle

amelie_2

Un père console sa fille

Elle rentre chez elle. Son père est au piano. Une sonate, Mozart peut-être.

"On m'a volé mon porte-monnaie dans le métro, mon argent de poche de la semaine".

Il s'arrête de jouer, la regarde. Ses yeux sont rouges. Du bout d'un doigt, il essuie une larme.

"Ce n'est pas grave. L'important, c'est qu'on ne t'ait pas fait de mal".

Elle sourit.

Et puis, Mozart à nouveau.

Signaler ce texte