Trop fort

marivaudelle

trop ou pas assez de fantasmes

Comme un ouragan,
Tu me secoues violemment,
Puis tout doucement,
Tu déposes de doux baisers,
Sur mes lèvres assoiffées,
Et mon corps déchaîné...

D'agréables sensations tu fais pleuvoir,
Comme l'écolier devant ses devoirs,
Tu ne me laisses pas choir,
Au rythme d'ardentes caresses,
Sans aucune faiblesse,
Nos corps connaissent l'ivresse.

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