trops de larmes pour un drame

Jonathan Stevens

TROP DE LARMES POUR UN DRAME

Je vois tes yeux qui crient ces nuages gris
Et dans ton iris glisse un temp de pluie
Ce nuage sera ton lit et la pluie le moindre de tes soucis
Ton soleil c'etait ta fille et ces cris l'ont meurtris
Depuis tu fuis ta vie cette fille était ta vie
C'est le fruit d'un aller-retour dans le lit
Une erreur qui pleure et m'effleur le coeur
Je me meurs ça me fait peur ça m'écoeure
J'appel le seigneur dis moi que c'est l'heure
Je suis né sur cette terre sainte j'y ai mis cette femme enceinte
Je l'ai étreinte et ma crainte maintenant elle est éteinte
Pense à moi ne m'oublis pas j'ai fais une croix sur vos lois moi je voulais être papa
Viens me chercher je veux planer au dela de ce ciel etoilé
Et rejoindre mon bébé
Je la prenais dans mes bras elle m'appelait papa et ça
ça me redonnait la foi j'avais confiance en moi revient moi
Sur le trottoir ce chauffard t'es rentré dans le lard
C'etait le soir j'ai courru vers le squard c'etait trop tard
Ce batard est parti sans crier gare sans dire au revoir
Et ma vie est restée sur les lieux sans dire adieu
Mon bébé a volé et a glissé sur les pavés dans ma mémoire tout est gravé
Dis moi mon dieu tu m'as oublié moi la fleur fanée

J'aimerai tant m'envoler
J'ai trouvé la clef
Il ne me manque que les ailes
Pour pouvoir monter au ciel

Je l'ai retrouvé je l'ai tué ca y est bébé je t'ai vengé
On m'a jugé condamné puis enfermé dans mes pensées
Je rêve d'un long voyage à mon âge je veux tourner la page
Je reste sage malgré la rage d'être enfermé dans cette cage
Je rêve d'un monde imaginaire avec plus de prière que de guerre
Une vie sans barrière que de terre ou des frontières de mer
De prendre l'air avec ma mère mais je suis retenu par ces barreaux de fer
Que faire à quoi ça sert les flics me serre dans cet enfer
Même une salière est une arme meurtrière
Ici je vois des veines se trancher des coups serrer des gorges lacérer
Des boss errent près à saigner la première croix gamée
Dix ans sont passé on m'a liberé mais ceux que j'ai aimé
Sont enfermé dans mes pensées il n'y a que là que je peux les retrouver

J'aimerai tant m'envoler
J'ai trouvé la clef
Il ne me manque que les ailes
Pour pouvoir monter au ciel

La porte de sortie n'est pas ici et je la fuis au paradis
La vie m'a surprise ces interdits m'ont suivis
Ma vie je l'écris je la lis mais aujourd'hui ça suffit
Je cris ainsi je fuis les cris assis dans mon lit et la mélancolie me suit
Elle m'envahie et mes soucis les confier à qui
Je deviens sourd ce fardeau est trop lourd
*retrouver l'amour n'est plus a l'ordre du jours
et je cours au sommet de cette tour
l'horizon monte d'un ton et me dit que je suis trop con
rien ne tourne rond de toute facon la vie c'est trop long
sans les miens je n'ai plus rien qui me retient
je les rejoint( dans un pays lointain la ou sont mes anciens
je veux sauter et planer jusqu'a ma destinee
laissez moi m'ecraser je ne suis pas nee que pour pleurer
cette terre ne me comprend guert mon existance est amer
dans ma tete c'est la guerre l'air la mer la terre
merci terre mere mais toute ces galere je ne peu rien en faire
meme mes priere m'enfonce en enfer j'ai perdu ce que j'avais de plus cher
vous parlez de quoi de moi vous croyer quoi
que je suis fier d'avoir fait ca mais j'etait mieux chez moi entourer de ma millefa il ne suffit pas d'avoir la foi de ce dire que dieu m'aidera
tout ca c'est n'importe quoi
je conte ma vie socompte mes ucis contre mes cris suivis par d'infine bruit
j'arrive cheri de toute facon toute est cuit


bj


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