Tsunami

berr-iaz

La mer telle un rouleau, qu’importe les idéos

Le vent souffle en tempête, les flots en lui reflètent

Sa destinée comme une feuille, coupée nette,

Et sa vie détruite comme les bateaux,

Les enfants jouent et s’amusent,

Les parents, eux, incrédules,

Voient la mort à l’horizon,

Se dessiner la sans raison,

Comment l’enfer pouvait-il décimer,

Ce petit paradis tant apprécié,

Et en quelques eaux, tout dévaster,

L’homme dans toute sa maîtrise,

N’aurait-il pas commis une bêtise ?

Mère nature a sur lui toute emprise.

  • Ceci est le premier poème que j'ai ecris sur le tsunamien indonésie qui avait fait tant de morts et qui m'a profondément marqué

    · Il y a presque 14 ans ·
    Chevalier blanc a l epee

    berr-iaz

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