J'ai comme une envie de voir ta vie en l'air. Seul, attendant ma visite inattendue. Je t'aime, je n'aime que toi. Comment ferais-je si ta couche est pleine ? Après tout, j'ai le droit de contrôler ta vie. Tu aimes ça, tu n'attends que ça. Les courbes de mon dos dessinant le chemin, proches du souvenir de ton désir, tu aimes ça. Et je meurs, je meurs d'observer cette pensée obsessionnelle. C'est le moment précis où la folie me prend, la salope. Je transpire, ouvre les yeux et mon corps seul dans cet espace si froid.