Tu meurs

Chrys

Il en existe de toutes sortes parfois solides, parfois bénignes et quelquefois malignes...

Quand est-elle née ? Nul vraiment ne le sait

Son âge ne mérite pas l’importance d’une fête d’anniversaire

Comment souffler sur la souffrance qui s’est immiscée dans ta chair

Une bille de verre, une balle perdue ou le revers d’un mal qui tue

Certains disent qu’une peine immense, un abandon

Bâtisse tumeur et sa maison, ont-ils tort ? Ont-ils raison ?

Et ces pardons qu’on ne peut plus faire

Etaient-ils des armes contre la guerre ?

Voleuse de vie, pilleuse de temps, du sourire de tes petits-enfants

Mais reste toujours la lumière

De ce soleil que fut ma mère

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