Tweet me

shunnigurath

Tout a commencé bêtement, par un imbécile de copain qui m’a pris en photo en train de pisser à un mariage un peu arrosé. Rien se scato, je vous rassure, juste ma queue tenue par ma main, sortant de mon pantalon. Bref, une photo à la con, qu’il m’envoie par MMS, dans la soirée et moi je la tweete : “La seule photo de moi d’un mariage vendéen : ma #bite”. Bref un tweet pas drôle mais qui en ayant bu me paressait bien. Dans ma malchance, je ne tweete pas avec mon vrai nom. Mes amis préférant l’autre réseau social je fus épargné par la vindicte populaire. Depuis je tweete un peu toutes les photos que je peux prendre ayant un caractère sexuel. Après être passé par la case je tweete un peu n’importe quoi comme photo, je me suis focalisé depuis quelques temps sur des photos plus artistiques ; la seule condition étant pas de visage, et tout à partir de mon téléphone portable. Évidemment j’attire une série d’abonnés que d’aucun qualifierait de bizarres, de mateurs... Pour palier aux tweets de gros lourds d’Internet, j’ai passé mon tweet en privé, et je me suis agrégé à une petite communauté de personnes qui comme moi échangent des photos d’eux, de personnes plus ou moins dénudées. Pour s’abonner à mon fil d’actualité c’est facile : un de mes abonnés vous recommande et je vous rajoute. C’est comme ça que @Novalia m’a suggéré d’accepter @Zara_muette.  @Novalia c’est peut être une fille qui est assez discrête et qui est une des mes abonnées depuis plus d’un an. Souvent elle commente mes photos, m’indique des logiciels de retouche... Bref quelqu’un de plutôt chouette, qui est juste là pour regarder et commenter. Sa seule contribution picturale fut une photo de ses pieds, sûrement sur une plage.
J’accepte donc @Zara_muette et j’en profite pour m’abonner à son fil d’actualités. Je regarde son profil, @Zara_muette c’est un peu mon pendant en fille, elle nous montre différentes parties de son anatomie (plutôt sympa) ou celles de ses copines. Quelques mois passent,  je reçois un message de @zara_muette: “Je regarde ton profil régulièrement, si ça te dit que l’on se rencontre”. Pourquoi pas ça n’engage en rien, elle a autant sur moi que ce que j’ai sur elle. On fixe un rendez-vous le vendredi soir dans un café de la capitale.
J’arrive, et là débarque une jolie femme entre 25 et 30 ans, le regard pétillant. On discute, on parle de notre intérêt commun pour la photo. On enchaîne sur un restaurant d’où on ressort plus gais qu’en rentrant.
- Ça te dit un tweet ensemble?
Curieusement le mot tweet entre ses lèvres ourlées ne semble pas avoir la même signification que dans la vie réelle.
- Euh... Tous les deux?
- Oui, un truc sympa comme les photos que tu as publiées cet été de ton voyage en Corse.
Je vois bien, c’était une soirée avec une fille qui m’a laissé prendre des photos d’elle assez explicites.
Du coup on se rend chez moi. Elle fait le tour de l’appartement pendant que je nous sers à boire.
- Bon, cette séquence, on la commence?
- Allez c’est parti. Tes seins? Ton cul? ou ta chatte?
- Les seins d’abords.
Elle enlève son haut, laissant voir son soutif noir. Sans ménagement, elle le retire laissant apparaître deux jolis petits seins. Pendant que je suis en pleine contemplation de sa poitrine, elle demande :
- Alors tu les tweetes mes seins?
J’attrape l’Iphone, lance Twitter, tape “@Zara_Muette est à la maison”. Joindre photo, je cadre sur ses seins, la couleur de la prise tire un peu sur le jaune. Il manque un peu de lumière, du coup un léger flou est présent, mais ça donne aussi un coté moins froid à l’image. Envoyer.
Je lâche l’Iphone et commence à lui attraper les seins pendant qu’on s’embrasse. Elle a passé ses bras autour de mon cou. Je sens sa langue entrer dans ma bouche, une petite langue douce, avec un petit goût de Despé. Ses seins sont d’une douceur incroyable, je les presse délicatement. Ce contact commence à me faire bander, mais surtout provoque en moi une envie de l’embrasser plus sauvagement. Nos langues se répondent, elle émet un léger soupir et je sens que l’excitation la gagne aussi. Ses mains descendent le long de mon torse et commencent à frotter mon entrejambe. Sa main appuie plus fort sur mon sexe qui tend mon jean. Je lâche ses seins et commence à les téter. Je fais descendre mes mains le long de son dos et les glisse dans son pantalon. J’ai du mal à attraper ses fesses comme je le voudrais. Je me laisse tomber alors dans le canapé.
- Enlève ton jean.
Elle s’exécute en tortillant ses fesses pour le faire descendre, révélant ainsi un shorty assorti au soutif qui traîne sur le parquet.
“Incroyable, @Zara_muette a de jolis sous vêtements”. La photo est plus nette que la précedente. Zara monte à califourchon sur moi et enlève mon t-shirt tout en continuant à m’embrasser. Entre deux passages de bras dans mon vêtement, mes mains accèdent à ses fesses, elles sont aussi bien rebondies à l’air libre que dans son jean, je glisse mes mains vers la pomme de ce cul et commence à la masser. A chaque mouvement, le bout de mes doigts s’approche un peut plus de son sexe encore recouvert par son shorty.
- Attends je te shoote, moi aussi j’ai des followers à satisfaire.
Elle se lève, prend son téléphone et pose sa main sur mon torse. J’entends le bruit synthétique du déclencheur. Elle reprend le téléphone à deux mains, finit de taper son message. Pendant ce temps je lui baisse le shorty. Elle finit de taper totalement nue. Sa chatte est rasée de près, juste un léger maillot au dessus de ses lèvres.
- Je suis à toi !
Elle revient alors à califourchon sur moi et l’on continue de s’embrasser goulûment. Ses mains commencent à défaire ma ceinture et s’attaquent aux boutons de ma braguette. Je continue à passer les mains sur ses fesses, glissant de temps en temps vers sa chatte où une humidité commence à poindre entre ses lèvres. Je passe un doigt de la commissure de ses lèvres jusqu'à l'extrémité opposé de son sexe. Elle est arrivée à sortir une partie de ma queue de mon boxer et commence à me branler en tenant juste le bout. On continue à se chauffer comme ça, quelques minutes.
- Attends, je prends une photo et après je te bouffe.
Elle attrape ma queue d’une main, glissant un peu vers le bas la peau de mon prépuce, me décalottant partiellement, de l’autre elle tweete.
Elle s’agenouille devant le canapé, attrape mon jean, me l’enlève. Elle attrape ma queue à la base, me décalottant complément, sort sa langue et commence à me lécher. Je sens sa langue appuyer contre la base de ma queue et remonter vers mon gland, arrivée en haut de son ascension, elle y dépose un baiser sonore.
J’attrape mon téléphone :
- Remets ta langue sur ma queue deux secondes.
Elle s'exécute, je cadre de coté à l’aveugle. Raté, on voit tout son visage qui  me sourit. Je retente en zoomant. Pas le cadrage idéal, mais ça ira. Pendant que je regarde le résultat. Elle se met à me sucer. Je sens ses lèvres avaler mon gland et commencer à descendre le long de ma queue. Le temps de cliquer sur envoyer, le désir monte le long de mon sexe et exacerbe sa sensibilité. Ses mouvements se font plus rapides, elle commence en parallèle à faire de petits mouvements de va-et-vient le long de ma queue. Je sens alors sa main m’agripper les couilles et commencer à les masser.
Mon tel vibre, j’ai une notification Twitter sur mon dernier tweet. @Novalia dit “Montre-nous une photo de son petit cul”.
- Ils veulent voir ton cul.
Je me redresse, je cadre ses fesses, elle accentue sa cambrure. Photo. Send. Je retourne à mon plaisir, elle continue de me sucer alternant des phases calmes, et des phases plus sauvages. Je commence à avoir du mal à retenir le plaisir qui monte, elle le sent et accélère le mouvement. Sa main m’empoigne de plus en plus fort en accélérant ses va-et-vients sur ma queue. Je sens sa langue fébrile sur mon gland, l’orgasme poindre. Elle relâche toute l’étreinte de sa main et retire ma queue de sa bouche d’un coup. Je reste sous tension une ou deux secondes, et petit à petit l’orgasme s’éloigne. Elle regarde mon sexe d’un air mutin, une goutte de sperme perle sur mon gland. Elle s’empare de son téléphone, partage cette goutte avec l’Internet, puis elle l’étale du bout du doigt en le faisant glisser jusqu’à mes couilles.
- C’était moins une, non? dit-elle moqueuse.
- Clairemment. Avoué-je.
Nous échangeons nos places, elle sur le canapé. @Novalia a retwetté : elle espère voir ma langue sur le sexe de @Zara_muette. C’est prévu au programme ma grande. Je commence à embrasser ses lèvres, déjà bien humides, puis délicatement, je les ouvres, dévoilant ainsi l’intimité de son sexe. Je me mets à lécher son clitoris.
- Attends, on prend la photo. Comme ça c’est fait et je peux profiter.
Évidement dans les films pornos, c’est toujours très facile d’obtenir un gros plan, dans la vie de tous les jours, c’est une autre histoire. Bref, après une dizaine de tentatives, on arrive a une photo potable.
Je replonge alors entre ses cuisses, et me remets à lécher son clito. Je descends de temps en temps ma langue jusqu’à son vagin pour goûter sa mouille. Elle a ce goût caractéristique du désir féminin, ce goût de fourre-moi. Un goût que j’adore, qui me fait glisser ma langue dans sa chatte pour laper un maximum de fluide. Chaque coup de langue l’ouvre un peu plus. Je reviens sur son clitoris, et fourre un doigt dans sa chatte, tout en la léchant. Je vois sa poitrine haleter au rythme de ma langue. Ses gémissements s’accorder aux va-et-vients de mon doigt.
- Mets-en deux.
Je m’exécute. Mes doigts glissent comme dans du beurre, je les laisse au fond et commence à masser son point G. Elle se cambre, sa respiration se fait courte. Ses gémissements se rapprochent, je sens ses muscles se contracter autour de mes doigts.
- Ta queue, je veux ta queue.
Je me redresse, et glisse mon sexe dans le sien. Je m’enfonce avec une facilité déconcertante tant sa chatte ruisselle. Je la prends doucement, elle a attrapé mes fesses et donne le rythme. Au bout de quelques minutes, elle relâche son étreinte et prend une photo de nos sexe l’un dans l’autre. Ma queue est luisante de sa mouille sur la photo, comme trempée dans du gloss.
-@Novalia est aux cent coups. Elle veut  me voir me faire prendre levrette.
- Pour la photo ça va pas être simple.
Elle s’agenouille sur le canapé, me tend ses fesses rebondies, je ne me fais pas prier et la prends violemment, comme ça. Elle gémit sous la pénétration, je pose mes mains sur ses fesses et commence de longs allers-retours. Elle pose son buste contre sur le canapé. Il me semble qu’elle n’est plus qu’un cul, qu’une chatte. J'entends l’appareil photo se déclencher et je m'aperçois qu’elle a glissé ses mains entre ses jambes. Elle dépose le téléphone pour s’abandonner à son plaisir. L’écran du smartphone laisse voir son sexe ouvert avec mes couilles collés à sa peau. On continue comme ça un moment. Son téléphone vibre. Elle jette tant bien que mal un coup d'oeil.
- @Novalia aimerait voir une sodo, je suppose que t’es partant. Me dit-elle d’un air entendu.
- Carrément.
Elle se dégage et part chercher quelque chose dans son sac. Elle revient avec un flacon transparent très design contenant un lubrifiant et un gode de bonne taille, couleur orange vitamine, finissant pas une boucle au bout.
- Euh... je ne le voyais pas tout à fait comme ça...
- C’est bien les mecs ça ! Elle se met à rire, sûrement en voyant ma tête. T’inquiètes, c’est pour moi, on va lui donner un peu de spectacle à la Miss. Allonge-toi sur le dos devant ton miroir.
Je m’exécute, elle s’empare du flacon, verse une noisette de lub sur mon sexe et commence à me branler. Sa main glisse autour de ma queue, enserrant mon gland, elle s'assoie alors sur moi, de dos. Je sens ses fesses autour de mon sexe se contracter, ma queue butte contre elle, semblant chercher où aller. Sa main me tient fermement jusqu'à ce que je sente son cul s’effacer ou plutôt m’absorber. Elle fait encore quelques mouvements et lâche mon sexe. Ses gémissements reprennent et s’accentuent. Elle semble partagée entre un sentiment de contrôle et d’abandon. Je vois ma queue aller et venir dans son cul. Elle se cambre vers moi, je glisse deux doigts dans sa chatte et commence à la doigter. Ses gémissements se font plus forts. Dans le miroir, je vois l’endroit du décors, sa chatte humide avec mes doigts dedans et ma queue qui apparaît et disparaît dans ses fesses, au rythme de ses va-et-vients. Elle se redresse, s’empare alors du gode.
- Enlève tes doigts, me murmure-t-elle entre deux expirations contenues.
Elle porte le gode à sa bouche, en avale l’extrémité, puis le ressort et le glisse au bord de son sexe. Je le sens qui appuie sur ma queue à travers elle. Dans le miroir, je le vois s’enfoncer lentement dans sa chatte. Elle reprend ses mouvements, ils ne tardent pas à  devenir plus puissants.
- Prends la photo et finis-moi. Sa voix est à la limite du cri.
Je prend la photo dans le reflet du miroir, la couleur orange du gode semble exacerbée, on distingue nettement la double pénétration. J’envoie.
Je l’attrape par la taille et imprime mon rythme de pénétration, à chaque coup, elle laisse échapper un cri.
J'accélère. Bientôt ses cris ne s’espacent plus. Je sens son cul se contracter autour de mon sexe. Je sens le gode sortir de sa chatte sous l’effet de l’orgasme. Je n’en peux plus, l’orgasme monte en moi comme encouragé par le sien.
Je sors d’elle, me redresse, elle se met à genoux. Je me branle, le sexe gluant de lubrifiant. Je l’embrasse à pleine bouche, sens sa langue contre la mienne. Je me redresse, plonge mon regard dans ses yeux tout en continuant à me branler. Mon corps se contracte, mes muscles se tendent au maximum. Le premier jet part, éclaboussant la base de son cou. Je regarde ma queue, ajuste le tir sur les seins qu’elle me tend. Une seconde secousse décharge mon sperme, sur son sein droit. Je l’observe regarder mon foutre sortir de ma queue. Elle pousse des petits gémissements comme pour accompagner mon éjaculation. Je dévie un peu mon sexe et achève de juter sur son autre sein. Les contractions s’espacent, finissant de dissoudre l’orgasme qui me parcourt le corps. Mes muscles se détendent.

Elle relève les yeux vers moi :
- Un dernier tweet?

Je prends mon téléphone, cadre ses seins, prends la photo. Mon sperme marbre la peau de ses seins. Envoyer. La barre de progression avance, ralentit vers la fin comme si c’était les derniers octets les plus dur à passer, et disparaît. Tweeter a la dernière contribution de Zara sur un serveur quelque part dans le monde.

Je lui passe les mouchoirs, elle s’essuie.
- Pas encore de réponses? Me demande-t-elle d’un ton badin.
- Non. Ils doivent sûrement finir de se branler... Et puis en général, j’ai trop de commentaires sur les derniers tweets d’une scène.

On passe dans la salle de bain. Pendant qu’elle se douche mon téléphone vibre, @Novalia a commenté.
“Jolie scène, ma chatte a apprécié” suivie d’un tiny URL. Ouvrir. Mon téléphone charge. Une paire de fesses en contre-plongée, et deux doigts dans la dite chatte.

Un futur “modèle”? Qui sait...

Shubnnigurath

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