"Un destin à suivre" Préface

lolipiote

 

Préface:

 

Tout était noir. De droite à gauche, de haut en bas, l’obscurité était total. Elle m’envelopper comme un sombre manteau légèrement étouffant.

 Je ne suis pas peureuse, normalement, mais se sentiment d ‘étouffé ne m’aidais pas a retrouver mon sang-froid. Doucement, une sorte de torpeur m’envahie. Et puis soudain une lumière rougeâtre fit son apparition. Petite au début, elle devint énorme et se diffusa de tout les cotés, cette chose n’était pas une innocente lueur. La surprise céda à la curiosité.  Je m’approcher pour mieux distinguer ce qui m’entouraient et qui semblaient danser doucement.

 Des flammes. Des flammes partout, des flammes a perte de vus. Je fis un bon en arrière. Le brasier dégageait une chaleur suffocante, est ce que ce que je vivais ce passer réellement?

 Je fermais les yeux en espérant  m’en sorti.

Une nausée vicieuse s’insinua en moi. A peine les avaient-je fermais, que la chaleur s’estompa aussitôt.

 

Lorsque je les rouvris, tout autour de moi avais changé, les flammes avaient disparue, il n’y avait à présent  plus que des décombres. Je ne connaissais pas cette ville, les maisons étaient des cabanes en bois dont les toits fumaient encore d’un incendie récent. La nausée disparut comme elle était venue.

 J’entendais des hurlements, des cris, de panique, d’horreur, de peur, de folie peut être, mais pourquoi?

 La réponse m’échappait pour l’instant. Beaucoup de personnes couraient s’en savoir où elles allaient, leurs regards étaient habitaient par la terreur.

De quoi avaient-ils peurs?

Une ombre passa au-dessus de ma tête, je levais les yeux pour m’apercevoir que cette chose était énorme. Dans la pénombre du crépuscule, je ne pus voir vraiment la créature, et en tant que fille normale, je n’avais pas du tout envie de l’approcher.

Ce monstre, en passant au-dessus de moi, fit surgir une douleur au fond de mon cœur.

Ce sentiment était pire que tout ce que j’avais éprouvé dans ma vie d’adolescente, et ce n’est pas peu dire. La vie ne m’avait pas fait de cadeaux, la vie avait fait disparaître ma mère et mon père… je préfère ne pas en parler.

Mais ce qu’avait vécue cette chose était encore plus douloureux, plus cruelle que tout ce qui m’étais arrivé. Lorsque l’ombre eu disparut à l’horizon, je me mis en marche avec un sentiment de culpabilité envers cette créature.

 Mes pas étaient lents, j’avais peur de tomber dans un de ces  trous énormes qui jonché la route.

Je parvins a ce qui semblait être un jardin, c’était comme si je savais ce que j’étais venue faire ici, mais que pour l’instant cela ne voulais pas me revenir.

Et puis mon regard fut attiré par un jeune homme qui était appuyé contre un arbre déraciné. C’était la première personne que je ne voyais pas courir, ni hurler, ni pleurer.

 

Je m’approchais pour voir ce qu’il regardé avec tant d’attention. J’étais à environ trois mètres de lui, lorsque quelque chose m’interrompue.

Je garderais cette vision jusqu'à ma tombe.

 Un peu plus loin, se trouvé un banc en pierre blanc noircie, au milieu des fleurs brûlaient et de la fumer, j’ai reconnue la personne qui s’y trouver étendue, je la connaissais.

Je la connaissais même très bien.

Car cette personne c’était, … moi.

 Je me voyais, allongée, et quelque chose en moi me disait que la Éline qui se trouver là-bas était … morte.

 Peut-on être morte et vivante à la fois ?

Je ne crois pas, alors cela devait être un rêve. Du moins je l’espérais.

Je remarquais alors qu’une personne me tenait la main, la main de la Éline morte. L’homme se retourna pour dévisager le jeune homme que j’avais remarqué quelques instants plus tôt.  Il était jeune, 17 ans, peut être, il était blond aux yeux bleu, ceux-ci contrastait avec son visage rougis par ses pleures.

 Il était vêtu d’une longue cape de couleur bleu nuit avec une lettre brodé aux fils d’or, un  « E » entourer d’une chaîne avec au bout un médaillon en forme de goutte d’eau, d’un bleu turquoise. Que c’était t’il passait ?

Pourquoi tant de désespoir dans le regard de ce jeune homme ?

C’est alors que, coupant court à mes questions, le premier garçon que j’avais vu, se retourna. De dos, il avait les cheveux noirs en bataille, dont certaines mèches étaient soulevait par une brise invisible, quelque chose en lui me fit penser à un fauve.

Peut être était ce cette aura qui semblait l’entourer.

Quoi qu’il en soit, il c’est tourné jusqu'à me faire face.

 

 Alors je vis son visage, je vis ses yeux et … je me réveillai en sursaut.

  • :) merci psycose ^^

    · Il y a plus de 11 ans ·
    555 195

    lolipiote

  • Il y a de l'intrigue, des questions...sans réponses, une narration à la première personne qui permet au lecteur de plonger dans le décor à travers la vision intérieure et extérieure du personnage encore à caractériser. . .Il y a une psychologie mystérieuse qui absorbe l'ambiance interne du personnage. . .Bref, on attend de voir la suite !

    · Il y a plus de 11 ans ·
    Mains colombe 150

    psycose

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