Un rêve à realiser !
moox
J'ai rêvé de toi cette nuit,
C'était osé, érotique et à la fois sensuel,
Tu m'as consumé sans même me toucher
Je t'ai embrasé de tout mon être.
Cela partait tranquillement, on s'était levées, habillées, tranquillement, et je t'ai embrassé, de maniére à jouer, de manière à eveiller en nous tout un tas d'envies de plaisir.
J'ai coupé court à ce baiser, d'un coup, comme ça, le sourire et les yeux joueurs, pour guetter ta réaction.
Elle ne s'est pas faite prier, tu as protesté, tu m'a retenu, me disant que tu avais très envie de me déshabiller, ce à quoi je t'ai répondu :
" De me déshabiller ou que je me déshabille pour toi?"
L'eau à la bouche, tu as accepté de differer l'extase pour faire monter doucement à pression, t'asseyant sur une chaise, mettant une musique qui donne envie de danser langoureusement.
Le jeu commence, sensuellement, je danse lascivement autour de toi, ôtant petit à petit mes vêtements, et les tiens aussi, venant te caresser, déposer des baisers au creux de ton cou, tantôt doux, tantôt ravageurs.
Il ne me restait que ma culotte, tu avais encore ton pantalon, alors je t'ai fais te lever, je t'ai collé contre un mur, de dos, et tout en me collant contre toi, je suis venue, doucement, deboutonner ton pantalon, écarter la fermeture, et descendre pour te l'enlever, profitant au passage pour te caresser et t'embrasser les jambes, centimetre par centimétre, le creux de tes genoux, la pliure entre fesses et jambes...
Je me relevais, toujours collée contre ton dos, ma poitrine appuyant entre tes omoplates, ma bouche dans ton cou, mes mains jouant avec tes seins, les malaxant, les emprisonnant, jouant avec les tetons, de longues minutes de ce traitement, tu n'en pouvais plus, et pourtant, tu savais qu'il faudrait, encore, la preuve, nous n'étions pas nues, et j'avais envie de ces préliminaires pour te voir prendre tout le plaisir que tu prennais.
après ta poitrine, j'embrassais tout ton dos, descendant, au niveau du creux de tes reins, je caressais et malaxais tes fesses dorénavant, donnant des petits coups de langues, mordillant, passant entre tes cuisses, tout prés de ton sexe, le frôlant sans jamais réellement le toucher.
Je cédais à tes demandes en faisant tomber le dernier rempart, ta culotte. Toutefois, je prennais encore un malin plaisir à retarder le moment tant attendu, revenant t'embrasser, langoureusement, mais t'empechant toujours de te retourner. Je recommencais à jouer avec tes seins, rapidement, ton dos, tes jambes, en remontant, sentant ton excitation au maximum, ma bouche au niveau de tes fesses, soudainement, lentement, profondément, j'insérais deux doigts en toi, t'arrachant des cris de plaisirs.
N'en pouvant plus, ma bouche vint rejoindre mes doigts, eux en toi, elle sur ton clitoris, j'étais devenue virile, sauvage, tes jambes flagollaient, mon coeur battait la chamade, je te sentais jouir d'une maniére incroyable, je me sentais vivre et heureuse à travers ce moment.
Cet ultime moment dura longtemps, jusqu'a ce que tu te retrouve assise dans mes bras, toutes les deux par terre, à s'embrasser passionnément, signe d'un plaisir sans précédent.