Connectez-vous pour commenter
Un rien de tout
prejudice
Je chie sur le printemps
Je chie sur ces couples heureux
Je nie ce qui nous lie tous les deux
Je brûle l'entière saison
Qui me rappelle ce que j'ai perdu
Et revis machinalement
Ces derniers mois passés dans ta prison
Tu as été le plus bel intrus
A pénétrer ma forteresse
Pour lequel je me suis mise nue
Tu m'as rendu moitié princesse
Contre tes humeurs j'ai lutté
Sans comprendre quelle fin m'attendait
Et les mains autour de mon cou
Se resserrent de plus belle
Comme pour ne jamais lâcher cette prise charnelle