Un texte qui s'écoute

le-maitre-de-la-mort

Un essaie de texte nouveau, n'hésitez pas a me dire ce que vous en pensez. A lire a voix haute ou murmuré désolé pour les fautes

Sur le palier de ma chambre post-opératoire, j'entendais des pas passer, calme ou presser, praticien ou patient. Mais quand j'entendis ces pas puissants, pas de doute, c'est pour moi. Il dépassa le palier de ma porte d'un pas serein, pas chaussés de pantoufle par-dessus ces pieds nus. Dans ses poches, des pièces se pinçaient entre elles pour pouvoir se faire entendre.

Il sifflait un air strident à travers ses lèvres surement soutirait d'un scénario de science-fiction. Il sifflait toujours le même son, surement parce que c'était le seul qu'il savait siffler. Alors, tous les jours, sirotant son sirop au sucre de canne sacrément sucré, il sifflotait pour ses voisins de chambre, eux qui voulait juste s'allonger pour sombrer dans un sommeil sans sifflement.

Il commença à me marmonner des mots sans doute moqueurs, mais qui ne m'oppressaient pas. Mon absence de sermon l'encourageât à me marmonner d'avantages de mauvaises nouvelles sur l'hôpital. A mon avis, son accident de moto faisait qu'il ne pouvait mémoriser beaucoup de mot, parce que ces mots étaient répétitifs et monotones. Mais mes maux de tête me reprenant, je m'autorisai a lui demandais de me laisser.

Ouvrant la fenêtre, l'air vibrait des vrombissements des voiture, vomissant des voluptés de fumée vraiment insupportable. Voilà qu'au loin un message violet, passant vite car tiré par un avion, venez ajouter une pollution visuelle à celle que nos voitures nous vomissaient dans les poumons. Où que ma vision allait et venait, la publicité nous vendait des valises de conneries sans vraiment grand intérêt.

Mon admiration de ce paysage admiratif fut interrompue par un abominable infirmier, habituellement affecter au service administratif. Approchant avec agacement, il m'avertit que je devais avaler tous les antibiotiques, pas comme ce matin. Agacée par ce manque de tact, je lui demandai, non sans hargne, de les posée à l'endroit ou majeur lui indiquait : la table.

En partant, ses semelles crissèrent comme un cri capable de me casser ma boite crânienne en deux. Canalisant ma colère, je capitulai et cassa, sans en être capable, la carafe de kawa qui cliquetais depuis quasiment mon arrivé. Criant avec une voix craqueler à cause de la clope, il se calma pour ne pas me claquer la carafe sur le crâne.

Ses narines frémissement, secouer de frisson frénétique de rage. Telle une fourmilière, plusieurs fonctionnaires arrivèrent fou d'inquiétude, pensant ferment que j'étais fêlé. Comme dans les fourmilières, il y avait des fourmi fonctionnaire travailleuse, folle et fêlée, et des fourmi fonctionnaires feignantes, fatiguée de voire faire les autres fourmi fonctionnaire.

 

 

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