Vaincre les troubles de l'élection

Jean Claude Blanc

quand on mélange la politique et le cul, on n'est jamais déçus...

                     Vaincre les troubles de l’élection

 

Sont impuissants, nos gouvernants

Se faire mousser, c’est le moment

En attendant, faut être bon

Vaincre les troubles de l’élection

Ils sont saisis par leurs partis

Ces drôles d’oiseaux, qui font leur nid

Certains les traitent d’enculés

Et parait même se font sucer

C’est l’érection, de belles promesses

Nous en s’en branle, s’en tape les fesses

Doivent consulter, tous ces frustrés

L’incompétence, faut la soigner

Con, cul, pis, sens, fallait trouver

Lire des bouquins, un peu branchés

Ils ont beau faire, mais rien n’y fait

Ça sert à rien, de besogner

On fait appel, à belle Marianne

La république, poupée gonflable

Au godemichet, pour jouir de suite

Mais rien à faire, paresse la bitte

Les dé…putés, en rémission

Plus prostitués, les bourses pleines

Ont les couilles molles, n’ont pas le front

De se farcir, marine l’extrême

Ils piquent un fard, jamais leur dard

Car s’y connaissent en bagatelle

Un peu précoce, éjacula

Plaisir bâclé, donne des ailes

Le doute m’habite, me gratte la queue

Se reproduire, c’est laborieux

Parfois, mieux vaut être stérile

Que d’engendrer, des politiques

En guise de sexe, on a les boules

Mais il faut bien, baiser les foules

Car l’onanisme, orgasme intime

Y’a des voyeurs, qui se massent la pine

Pas de remède, pour l’élection

Je bande à part, mais pas question

De me voler, bijoux de famille

De me castrer, me muer en fille

Chacun choisit sa volupté

Soit de régner, soit plaire aux femmes

Pour faire les deux, c’est pas gagné

Dés fois s’inversent le cul et l’âme

En s’élevant, on rétrécit

Nous émascule, la hiérarchie

Baisse pavillon, notre zizi

Quand on nous torture l’esprit

Sigmund Freud, sacré génie

Tout passe par le sexe, l’avait prédit

Aiment le pouvoir, nos élites

En fait leur sceptre, leur sert de chibre

Etait mastard, Napoléon

Il s’est payé, femmes et nations

Le sabre au clair, fameux queutard

Pour remplacer les moribonds

Agile poète, Victor Hugo

Jongleur de vers et de lolos

Même sa propre cuisinière

L’a retroussée, à sa manière

Vaincre les troubles de l’élection

A coups de verges et de jurons

Pas le viagra, la solution

Tout le monde rêve de Matignon

Les culs serrés, iront voter

Juste pour se faire enfiler

La position du missionnaire

Y sont soumis, les prolétaires

Vont présenter, leurs meilleurs vieux

Ringards partis, la bitte en berne

Car la plupart, sont plus très verts

Marchent aux pas de sénateurs

N’en doute pas, avez compris

Que ce n’était que du mépris

Pour déblayer, toutes ces ordures

Trouve les tournures, à ma mesure

On a le cul entre deux chaises

A croire qu’on a les cataractes

Aux prostatiques, faut mettre alèses

On virilise, vicieux foutraques

Tous des vieillards, question plumard

JC Blanc       octobre 2013

  • Waouh ! Mais c'est le Kama Sutra du verbe (s)électif ! Bravo, en plein 'b)rut ! Cœurs et à voté

    · Il y a environ 11 ans ·
    La main et la chaussure

    Stéphan Mary

  • Good diatribe,un tantinet nyctalope,et sur une bribe d osier(Le cul entre deux chaises)une illico pensée puis Zan,vit,d une tite ilne,hot,cigogne song,toute vol,UT,voilette vol,haie,O,de sous des cou,cou,persienne,s,
    wesh,volant genèt,flex,scion,et session succion,d une tite Rose Line vaque Saint,Jaunie A l idée song,,Monsieur Paul,,,voili voila,ettt,Mat,tisse,Bonne journée toute d édit jeu de paume,.

    · Il y a environ 11 ans ·
    2012 09 07 12.19.16   copie 92

    Fil,Hip,Oohhh, 18 Rockin Cher

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