Voilà c'est la fin
marishla
J’écoute encore Chopin, résignée dans ton ombre,
Ces notes profondes qui cherchent le murmure
Des mots éteints, et des paroles qui perdurent
Au fond de ma solitude, teintées de sombre.
Oui, j’y suis arrivée, et j’y ai mis le temps
Humiliée par l’abandon, les excuses creuses
Dont Je n’étais pas dupe mais si amoureuse
Que comme une enfant, je savais « faire semblant » !
J’y ai laissé mes rêves, et l’admiration
Que j’avais pour toi, si digne, fier et intègre,
Car ton sourire candide et ton humeur allègre
Feignaient les sentiments de mes aspirations.
Des pans entiers de vie jetés à la corbeille,
En un clic effacer la virtuelle histoire
Qui se brouillait déjà au fond de ma mémoire,
L’aimé au demeurant étant resté corneille !
Diluée, l’identité finissait de fondre,
En flaques éparses qui cherchaient cohérence
Sur ces sables mouvants et dans l’indifférence
Aucun orage ne t’incita à répondre.
Figée, immobile comme paralysée
Par la déception immense, cachet amer
J’aurais voulu couler dans le bleu outremer
Arrêter de souffrir, de penser, m’enliser !
Et dormir ce long sommeil qui sait effacer
Parce qu’en ouvrant les yeux le désert est immense
Les jours médiocres ont remplacé cette intense
Soif d’exister, quand dans tes bras tu m’enlaçais.
Quels plaisirs affectés et quelle mise en scène
Pour donner le change, tenter l’heureuse image
Qu’il convient de présenter malgré les ravages
Provoqués aux pensées de souvenirs obscènes.
Les mobiles encore flous autour des décisions
De rester ou partir, craignant que le refuge
Ne devienne un fragile esquif sous un déluge
De larmes, et alors sujet de dérision.
Où sont passés la jolie frimousse d’antan
Les yeux émerveillés, et la bouche béate,
Tout étonnée de ce statut de lauréate
Devenue, collée contre ton cœur de gitan ?
L’aventure de la vie, n’est jamais celle qu’on veut,
Celle que l’on espère, qu’on peaufine en secret
Car toujours sable dans le rouage vient tomber
Et s’envolent alors les promesses des aveux.
Un peu de ce nous perdure au fond de mon âme
Contre mon désir, malgré le temps et l’espace,
Comme ces bulles d’amour s’immiscent et me glacent
D’une frayeur de ces émotions que je blâme.
Etre heureux dans cette peau devenue : Le cœur
S’émeut du malheur et tente un hypothétique
Retour, un courageux envol presque hystérique
Comme un papillon de nuit aux tristes couleurs.
Les amis se sont évaporés par magie,
Le chagrin ne convient aux amitiés fragiles
Que sur une seule face et laisse aux imbéciles
De s’assister eux même en bonne démagogie ;(
Aujourd’hui les heures cherchent le frémissement
Une entorse aux fadeurs, la lumière d’une étoile
Ou berceuse enchantée, quelque chose qui dévoile
De la sensualité, un gémissement.
Je me souviens la lueur que la liberté
Allumait dans ton regard, comme un jouvenceau
Tu te défilais à la pensée de l’anneau,
C’était ta réponse à l’attente et aux projets.
Il est l’heure pour moi d’avancer sur le chemin
Où les cailloux sont muets, et les fourmis rouges
Noyées au fond du lac… Je sens le vent qui bouge,
Les feuilles des niaoulis aux hampes carmin …
Bravo,c est succulente d agave flamboyante,et ne connaissant que les styros Ré,tiff,des chevalets de bois,bref,si cubisme rime avec rhésus,peut ètre que le Fauvisme se décrit sans panel et cent pastels,juste un HB entre filet d un entrela,T,bref,encore Bravo,une inspi s invite au soupirail d une vitre Play liste,au blase un tantinet charabia,style champ frein de chants sons,rotonde d ondine Aronde luth seigle zet song ronde d around the world,s,bref,Merci tonnelle d étain auvent pour ce surbrillance trait mat d hypra vent,ile,eau,texte,Bonne soirée a vous.
· Il y a plus de 11 ans ·Fil,Hip,Oohhh, 18 Rockin Cher