Il y a des mots si jolis. Vous en connaissez tant.
J'ai compris que vous aimez folâtrer sur moi, en moi,
autour de moi avec vos mots.
Et vos gestes savent si bien illustrer vos mots.
Vous prenez plaisir à folâtrer et moi j'aime tant que vous batifoliez.
Je me prends à penser à ce que vous me diriez peut-être en ce moment,
ou avant ou après.
Et même pendant, tel que je vous connais maintenant.
vous le murmurez souvent à l'oreille, pour le plaisir de me voir rosir
et m'entendre soupirer.
Vos badineries sont parfois musicales.
Mais entre hier, avant hier ou la semaine dernière,
Vous n'arrêtez pas de gambader sur moi.
J'aime énormément votre façon de marivauder.
N'imposant nulle limite à vos folâtreries, j'aime atteindre une telle complicité.
Vos yeux dans les miens, votre main dans la mienne,
Je vous le répète, vos pensées, vos désirs que vous habillez toujours si bien de vos silences,
de vos mots tentateurs, si justes, parfois si crus, souvent très doux, m'entraînent à désirer folâtrer sur vous,
à papillonner à mon tour sur votre corps, à gambader sans limites.
Je pensais, au début, me perdre dans vos mots,
alors qu'en fait je me retrouve,
grâce à vos mots, grâce à votre incroyable intuition.