Pas là.
hell-ea
On m'avait beaucoup parler des bad boys, on m'avait toujours dit que c'était le genre d'homme qui plaisait au fille. J'avais toujours trouver ça profondément stupide, et puis je t'ai rencontrer. On m'avait parler des hommes qui se battent pour le plaisir, on m'avait parler de l'adrénaline qui monte quand on donne un coup ou quand on en reçoit un. Mais je n'étais pas ce genre d'homme, je n'aimais pas la violence et je fuyais le conflit. Aucune fille ne m'avait jamais dit que la violence ça le faisait triper, que l'adrénaline qui en découlait était sa drogue la plus aimée. Et puis je t'ai rencontrée, tu étais entrain de te battre dans la rue, je ne sais plus vraiment pourquoi à vrai dire, tu te battais tellement souvent parfois c'était pour s'interposer dans une bagarre et l'autre fois c'était parce que quelqu'un t'avais mal regarder. J'ai toujours aimée ta façon d'être, cette , cette façon impulsive et incompréhensible d'être la bonté incarnée et puis les ténèbres personnifié. J'aimais ta sensibilité hors norme, tes yeux qui s'embuait quand tu ressentais une nostalgie immense. J'aimais la façon dont tu regardais les personnes âgées qui passait et comment tu détournais le regard quand elle avait du mal à marcher. Tu as toujours était ce genre de personne, entière et pleine de vie qui ne s'arrêtait jamais. Parfois tu m'effrayais, quand ta colère monter et que rien ne sembler t'arrêter, mais c'était seulement au tout début ça, j'ai bien vite appris à te calmer, à savoir quand te prendre dans mes bras et te dire que tout ira bien, savoir quand te laisser seule pour te calmer et savoir quand te ramener à la maison pour éviter que tu fasses quelque chose que tu pourrai regretter. Je n'aimais pas quand tu commençais à paniquer à cause de détail insignifiant, je n'aimais pas te voir pleurer comme ci c'était la fin des temps. Je n'aimais te voir sombrer dans les ténèbres profondes dont tu n'arrivais pas à partir avant d'avoir pleurer toute les larmes de ton corps et d'avoir brisé la moitié de notre pauvre mobilier. J'aimais les bleus sur ta peau blanche, je détestais les cicatrices immondes que tu t'étais infligée quand tu t'étais égarée. Tu été la passion incarnée, le plaisir démystifiée. Et puis un jour tes crises on vraiment basculées d'un autre coté, un jour tu es partis sans m'avertir et quand tu es revenue tu étais radicalement différente. Quand je t'ai demandé ce qui c'était passé tu m'a juste souris, de ton putain de sourire énigmatique et puis tu as commencé à pleurer. Et quand je t'ai pris dans mes bras tu m'as dis que tu voulais pas finir comme ton père, que tu voulais pas avoir d'enfant que t'avais peur de ne pas être une bonne mère. Tu disais que c'était un désir égoïste et que tu avais peur de succomber à la tentation. Et moi j'ai rien pu dire j'ai essayer de te rassurer comme je pouvais et pas vraiment comme il le fallait. Les mois passaient et tu allais de plus en plus mal tu te prenais pour une sorte de monstre inaccessible et froid. Plus ça allez, moins tu faisais attention à moi, tu rentrais le soir à des heures inimaginables, tu te couchais près de moi et la seule chose que je sentais c'était l'odeur du sang coagulé de tes proies. Et puis un jour tu ne t'ai pas glissé dans le lit comme à ton habitude, et puis un jour j'ai eu l'appel dure et froid de la police qui avait retrouvé ton corps glacial dans une poubelle près de là. D'après eux ce jour là tu t'étais battus pour protéger quelqu'un qui se faisait agresser dans la rue, sauf qu'il avait des pistolets et que toi c'était pas ton genre les armes à feux. Tu étais ce genre de personne viscérale et organique qui préférait ses poings à n'importe qu'elle arme. Sauf que tu n'étais pas invincible, tu étais une personne sensible et inconsciente et quand j'aurai du être là pour toi, quand j'aurai du être avec toi, pour au moins te dire de garder ton sang froid et d'appeler tout d'abord la police, et bien je n'étais pas là.