100 000 000 000 000 d'idées (de soulard)

Entre la place Flagey et celle de l'Altitude Cent, 100 000 000 000 000 d'idées (de soulard) me convainquent (dieu sait comment) d'écrire ça.
Ça fuse, fourmille puis fluctue. Foutre! c'était bien plus facile quand je pissais sur la porte arrière (toujours passer par derrière) du Brico tout près de Saint-Luc.
Et c'était beaucoup mieux, quand je pissais sur la porte arrière (toujours passer par derrière) du Brico tout près de Saint-Luc, que là ménan...
Ces 100 000 000 000 000 d'idées (il devait y en avoir au moins deux de bonnes) auraient dû accoucher d'un bien meilleur texte, sans "place dropping", universel quoi...
Un truc dont j'aurais pu être vaguement fier et qui aurait bien sonné. Passque c'est ça qui compte, non, quand on écrit? Faire des trucs qui sonnent bien à l'oreille ; un rythme, une cadence, une harmonie.
Après, bien sûr, faut un certain fond (genre un truc porteur qu'est dans "l'air du temps" (à prononcer avec un accent anglo-saxon du genre genre "je parle français mieux que le magnétophone de Johnny Depp aux César" (on pluriellise jamais les noms propres en Français, n'est-ce-pas?).
Soit, de mes 100 000 000 000 000 d'idées (de soulard), il me semble bien fade de n'avoir pu extraire que cela...
Et c'est bien dommage (si vous voulez mon avis).

Civilement,

Z.

http://zagrebmagicien.wordpress.com/