A la Pollock.
Christophe Hulé
Pas de vide, pas de plein, de ronde-bosse, zébrés, mouchetés, azurés, projetés, à la Mathieu, à la Pollock, à la Voltaire (merde, ça n'a rien à voir!).
Du « verrou » à « l'origine du monde », les « fêtes galantes », les odalisques de tout poil (ou sans), les violons d'Ingres ou les estampes, les pipes pipées ou l'urinoir, fontaine à jamais intarissable, sauf crise climatique ultime (Chronique d'une Mort Annoncée).
Mes amis, cessez de déposer vos commentaires au bas de mes textes, j'ai eu beau chercher dans les paramètres, rien ne permet de les bloquer.
Moi j'ai renoncé, par respect pour les auteurs, que certains diront illustres et d'autres amateurs.
J'écris comme un passe temps, j'ai un boulot et les contraintes m'emmerdent, je n'ai donc rien à vendre.
Savoir que certains ont pris le temps de me lire est pour moi une joie , qu'il soient légion ou pas.
Qu'on me lâche les baskets, nul n'est obligé de me lire, de me faire la leçon ou de me démolir.
Chacun son style, ses passions ou ses démons.
J'adore le Paris de Toulouse Lautrec, de la génération perdue, avec Hemingway et consort, du bateau ivre, OK, c'est pas très chronologique mais on s'en branle (enfin surtout moi).
J'adore Edgar Poe, ou plein d'auteurs que je pourrais citer, ce que je ne fais pas car ne ne suis pas un paon vaniteux (oh putain le pléonasme de merde!).
Tout me fait chier à vrai dire, devoir passer l'essentiel du temps à vivre pour un boulot vampire.
On peut plaindre et envier à la fois les peintres ou poètes maudits, des peines, des souffrances et un (gros) grain de folie, mais la liberté, la vraie, a un prix.
Bien sûr on peut dire de même des soldats d'antan, d'aujourd'hui et de demain.
Putain bien sûr !
Rester conscient (« aware » dirait Van Damme, le grand philosophe).
La liberté a des épines.
On peut bien pleurer des « temps anciens » fantasmés, ils n'ont jamais existé.
Le « vent mauvais » souffle depuis les origines.
Des héros il y en a eu, et il y en aura toujours.
Malgré les polémiques de merde et les récupérations d'un temps T.
Les héros ne sont pas tous enterrés au Panthéon.
D'ailleurs certains remettent en question le casting, pas forcément à tort.
Comme la vieille idée des quotas (non pas laitiers mais amerloquains), on fait dans le communautarisme, mais c'est pour la satire (pour éviter tout commentaire déplaisant auquel je suis abonné).
Mes amis, mes amours, je vous emmerde.
Tu as de la chance d'avoir des commentaires ! :o) Moi, pour ce qui a probablement été mon dernier texte sur ce site et que j'ai publié début Juin et sous forme de question, j'ai eu 58 lectures et aucun commentaire...
· Il y a 3 mois ·daniel-m