A ma femme

apothecades

Mon grand amour, ma douce et tendre,

Toi dont il est si facile de s'éprendre,

Tous ce que je n'ai pas su te dire,

Je vais ici m'attacher à te l'écrire…

 

Je ne veux pas croire à la lassitude,

Encore moins à la force de l'habitude,

J'ai besoin de toi, comme tu le devines,

Parce que tu es ma tentation divine…

 

L'amour ne se conçoit pas sans passion,

Je veux de la folie, ignorer la raison,

Allons s'adonner aux plaisirs de la chair,

Et trouver du plaisir au bras de l'être cher…

 

J'ai l'audace de croire ma douce complice,

Que tout au fond de toi se trouve la malice,

Et l'envie de retrouver ce parfum évanouît,

Celui que nous retrouverons dans notre lit…

 

Très égoïstement, je te veux belle et mienne,

Moi qui suit tout à toi, ma belle bohémienne,

Retrouver dans tes yeux cette éternelle flamme,

Tu seras mon amante, avant d'être ma femme…

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