Chapitre 10 - AMBER ET CHRISTINA EN ITALIE – LA VENDETTA
suemai
Quatre camionnettes roulaient en direction du mont Sicani. Les hommes, ayant vérifié plus de trois fois, leur équipement, ne parlaient guère. Des chasseurs de gibiers transformés en tueurs. Plusieurs réfléchissaient à la question, mais «Ferro» devait payer pour ses crimes. Puisque d'aucuns ne pouvaient intervenir, ils devaient accomplir la tâche. La vendetta allait frapper enfin. Pas de quartier, comme leur avait enseigné, Amber. Quelques-uns, plus confiants, remontaient le moral des troupes. Pedro, Guillermo, Gregorio et un mercenaire conduisaient lentement. Le soleil plaquait déjà ses rayons, se faufilant au travers du feuillage des arbres, par petites secousses.
— Ok les gars, terminus, on marche, ordonna Pablo. Cagoules et casques immédiatement.
Pablo se souvenait. Quelques heures auparavant, tapis dans une vague lueur matinale, Alba le caressait. Étendu sur le dos, il se laissait aimer. Elle passait sa langue tout autour de son sexe. Une douceur que Pablo n'avait jamais connue. Lentement, très lentement, une jouissance le réclama, un peu comme une mort s'installant tout doucement. Alba goûta son moment de plaisir. Puis, elle posa sa tête tout contre lui et lui susurra de tendres paroles. Pourtant une inquiétude germait, ce que Pablo freinait par des baisers passionnés. Alba, une femme belle, au corps tout de rondeurs, au souffle de fleurs sauvages, au regard lumineux, à la main délicate, au cœur d'une totale pureté virginale. Alba la femme dont il rêvait, secrètement, depuis tant d'années. Alba devenue si rapidement l'unique étoile de son ciel, autrefois éteint. Alba, celle qu'il aimerait jusqu'à ce que l'amour y perde la raison. Alba.
Pablo marchait d'un pas décidé et entendait, en sourdine, les cris de cœur de ses hommes vivant l'amour et la vengeance. Ce peloton décidé à en finir avec l'injustice, mais portant, lourdement, le poids d'une promesse de retour. Des pas à la fois lourds et feutrés. Pour la cause, un amour, un baiser, une caresse. Tous espéraient entendre le paisible chant de l'alouette, celui d'un nouveau lendemain.
Amber conduisait la jeep, aussi déterminée que le faucon. Tout près d'elle, Christina son amour, fixait droit devant. À l'arrière, la magnifique Ellitra, aux habits canonniers, et à la paupière grande ouverte. Tout près d'elle, Guiseppe, inquiet mais déterminé à en finir. Le patriarche volontaire, qui avançait vers une lumière, qu'il demeurait seul à distinguer.
Guillermo pouvait encore humer le parfum de Catarina, avec qui il passa cette si courte nuit, nuit des rencontres. Si suave Catarina, sensuelle Catarina, sa bouche frôlait celle de Guillermo, de petits baisers encore vierges. Ils se contentèrent de caresses innocentes, de silences se perdant dans quelques nuées d'une alcôve d'un bonheur naissant, à la chaleur de corps frémissants.
Amber fit s'envoler la poésie. «Nous y sommes dans quelques minutes, Pablo»
— Bien reçu, Amber, nous débutons le déploiement. Allez les gars, vous empruntez le petit sentier et vous prenez position.
— Pablo, qu'est-ce que ça donne?
— La baraque pue le sommeil, le timing est bon, Amber.
Amber et Christina rejoignirent leur groupe. Ellitra assembla son arc et endossa son porte-flèche. Gregorio prit position avec ses gars.
— Vous me donnez vos «OK» aussitôt que tout est en place.
— Ici 1… Confirmation!
— Ici 2… Confirmation!
— Ici 5… Confirmation!
— Ici 3… Confirmation!
— Ici 6… c'est parti.
«Sept en mouvement, entendirent-ils tous, sourires aux lèvres.» Elitta devenait un catalyseur pour tous ces petits groupes éparpillés. Une gazelle rugissante. Une inspiration.
— Ici 4… Attention, j'explose la première jarre. Tir de précision.
Trois hommes sortirent de la maison et leur tête éclata aussitôt. Cinq suivirent et reçurent le même traitement.
— Ici 4… huit hommes au sol, bravo. Vous conservez toujours l'œil fixé sur la cible,
Des coups de feu éclatèrent de l'intérieur. Aussitôt qu'un homme était visible, aussitôt on le dégraissait.
— Ici 4… qu'est-ce que ça donne?
— Ici 2… une dizaine de mecs aux fenêtres, c'est ok.
— Ici 3… quelques-uns de plus, c'est ok.
— Ici 1… ça grouille de partout, besoin renforts.
— Ici 4… 7, tu te diriges vers 1 pour appui.
— Ici 7… Reçu 4.
Ellitra courut tout au long du sentier et appuya l'équipe 1. Cette façade donnait sur le stationnement arrière.
— Ici 4… attention 5, des voitures à la sortie.
L'équipe 1 élimina plus de la moitié des fuyards. Elittra se mit, de nouveau, en mouvement afin d'appuyer l'équipe 5. Les voitures accéléraient à fond de train. Le tir débuta. Gregorio et ses gars criblaient les conducteurs et les pneus des voitures. Sur cinq véhicules, il n'en demeurait qu'un, une camionnette blindée, qui fonçait toujours vers eux.
— Ici 4… à toutes les équipes, plein feu sur le véhicule en fuite, selon votre angle de tir.
— Ici 7… une fissure dans le pare-brise, je le fais éclater, et à vous de jouer.
Elittra s'élança et se retrouva face aux fuyards. Elle décocha deux flèches. Le pare-brise se volatilisa et l'artillerie fit un carton.
— Ici 5… beau travail 7.
— Ici 4… t'as pris trop de risques, tu attends les ordres.
— Ici 7… ben ils ne venaient pas tes ordres, ton oreillette est en panne ou quoi?
La rigolade éclata, Amber embarqua à son tour.
— Ici 4… Ok 7, du beau boulot.
— Ici 7… ça fait toujours plaisir à entendre.
Amber se la ferma. Dorénavant Elittra faisait pratiquement cavalier seul. Elle se devait de la couvrir.
— Ici 5… j'ai un blessé, faut l'évacuer.
— Ici 4… ambulancier intervention. Pedro, tu peux te départir d'un homme ?
— Ici 2… ça va aller, Amber, je l'envoie vers l'équipe 5.
— Ici 4… toutes les équipes au rapport!!!
— Ici 1… environ 7 hommes au sol.
— Ici 3… 6 hommes au sol.
— Ici 2… 8 hommes au sol.
— Ici 5… 6 véhicules bloqués, évaluation impossible.
— Ici 4… ça nous fait, au total, environ 35 hommes. Le tir se poursuit toujours. À vos mires. Attention aux cartouches, visez juste.
Ça devenait de plus en plus difficile de déloger l'ennemi. Soudain une longue salve aspergea les rochers.
Ici 4… vite, tout le monde au sol!!! Un fusil mitrailleur sur le toit.
Ici 7… je peux grimper et le dégommer…
Ici 4… ça va 7, prudence. Tu demeures sur place, tu en liquides trois et tu rappliques. Ils ne reviendront plus
Eltirra s'élança et atteignit une bonne hauteur. Elle troua la tête du tireur. «Ouais!!! S'écrièrent-ils tous.» Un second vint, puis un troisième. Ils subirent le même sort. Tel qu'anticipé, par Amber, personne ne s'y risqua plus. Eltirra redescendit.
Ici 1… un homme au sol, c'est sérieux.
Ici 4… brancardier au pas de course. Tu peux tenir Christina?
Ici 1… ça va aller Amber, c'est bon.
— «Merde, se dit Amber, ils se terrent. Je n'aime pas ça.»
Ici 4… 7 tu peux me rejoindre?
Ici 7… je suis près de toi, Amber. «Amber poussa un léger cri de surprise. Ce qui occasionna une nouvelle rigolade.»
— Amber retira son oreillette, Eltirra en fit autant. «Il faut les déloger, Eltirra, j'ai ces bombes fumigènes. Il faudrait trouver un moyen de les raccorder à tes flèches, et les balancer à chacun des étages. C'est faisable?»
— «Laisse-moi tout ça, Amber, je m'en occupe.»
— «Tu dois régler la minuterie de chacune, je te montre.»
— «Pas nécessaire, je me débrouille bien avec ces trucs-là.»
Eltirra se pencha et embrassa Amber avec une fougue peu commune. Un baiser en plein carnage. Guiseppe, à l'abri derrière Amber, s'y perdait de nouveau.
— «Ben ça, Amber, j'adore. C'est le premier baiser que je donne de toute ma vie. Tu goûtes sucré ma jolie. Prépare le groupe, je te les déloge.»
Eltirra disparut. Amber, sous le choc, se touchait la lèvre, et mit un temps à se recentrer. Elle repositionna son oreillette et recommanda une grande prudence à 7.
— Ici 4… 7 va déloger les derniers occupants, alors tout le monde à l'affût.
— Ici 1… ici 2…ici 3… ici 5… bien reçu 4.
— «Guiseppe, demande Amber, qu'est-ce que ça donne pour les blessés?»
— «Tout est sous contrôle Amber, le Dr. Santorelli intervient avec méthode et efficacité. Le plus gravement touché est hors de danger»
— «Guiseppe, voici des jumelles. Tu vas du coté de l'équipe 5, ils vont te planquer. Tu pourras observer et me dire quand tu apercevras «Ferro.»
— «De suite, Amber.»
Eltirra s'en sortait bien. Elle projetait les fumigènes attachés grossièrement à ses flèches. Son minutage était parfait. Ça explosait de partout. Les derniers mafiosos sortaient, mains derrières la tête.
Ici 4… feu.
Ici 5… Amber! Ils se rendent…
Ici 4… feu, c'est un ordre.
Ils les exterminèrent tous, les uns après les autres. Le gros du travail fut accompli par Christina, Pedro et Guillermo, qui comprenaient la décision d'Amber. Pourtant, «Ferro» n'était pas au rendez-vous.
Ici 4… Guiseppe, tu as aperçu ce fumier?
— «Non, Amber, il doit se tapir quelque part à l'intérieur.»
Il se passa un moment avant qu'Amber aperçoive Guiseppe marchant en direction de la casa. Elle laissa tout et courut aussitôt. Que personne ne tire, cria-t-elle. Amber se faufila au travers de quelques rochers pouvant la protéger. Elle demanda à Guiseppe de faire demi-tour, mais il ne répondait pas. Pratiquement à la porte d'entrée, «Ferro» sortit. Il dégaina aussitôt qu'il vit Guiseppe. Guiseppe ne put saisir son pistolet, celui que lui avait fournit Amber. Les deux hommes se tenaient à courte distance. «Ferro» y voyait la prise d'otage idéale pour s'enfuir.
Ici 4… personne ne tire!!!
— «Guiseppe Torsini, rigola «Ferro» ben ça alors, t'es pas avec les vieux croûtons de ton clan?»
— «Ce sera bientôt terminé pour toi, saleté, lui retourna Guiseppe.»
Amber apparut subrepticement. Elle pointa son pistolet sur la tempe de «Ferro.»
— «Alors là mon gros, faut faire gaffe, parce que tu risques de mourir deux fois!»
Un homme de «Ferro» se tenait dans le cadrage de porte et pointait son arme sur Guiseppe. Christina ordonna de ne pas tirer, qu'elle le ferait elle-même.
— «V'la une blondinette. T'es qui toi…? C'est quoi tout ce cirque? On va se tirer tout doucement avec ton vieux con.» C'est toi ou lui sale putain.
Le triangle était bien ficelé, impossible de tirer sans compromettre la vie de Guiseppe et d'Amber. Christina attendait, son doigt bien appuyé sur la gâchette. Les secondes s'écoulaient, les quatre se braquaient toujours, les uns les autres. Soudain, siffla une flèche qui atteignit «Ferro» à sa main armée et une seconde qui tua net le mercenaire restant. Amber et Guiseppe se regardèrent et vidèrent leur chargeur en pleine tête du caïd, qui fut projeté au sol, troué de partout. Guiseppe s'évanouit.
Ici 4… Christina, Pablo et Guillermo, vous me rejoignez. Les autres, les doigts sur la gâchette au cas où des merdes survivraient.
— «Aidez-moi à le sortir d'ici, gueula Amber.»
***
Guiseppe ouvrit les yeux. Amber et Christina le veillaient depuis leur retour. Il se portait bien, selon le Dr. Santorelli.
— Qu'un choc nerveux. Il va s'en remettre rapidement mesdemoiselles. Je voudrais vous remercier pour…
— Pas la peine Doc, c'est juste notre job, dirent-elles d'un même souffle
Elles firent un gros câlin à Guiseppe et sortirent. Amber demanda aussitôt un scotch. Christina le lui apporta et lui sauta au coup, pleurant à grosses gouttes. Amber lui tapota le dos à quelques reprises. Ça va ma belle, détend-toi, maintenant, c'est terminé. Elle cala son verre et en redemanda un second.
— Il ne faudrait pas abuser, s'apeura Christina…
— Mais non, dit une voix familière derrière elle, elle l'a bien mérité, j'crois.
Il s'agissait d'Elettra, toute heureuse de la tournure des événements. Elle s'empara de Christina et l'embrassa avec volupté. Amber rigola et leva son verre. Quand à Christina, la situation lui échappait, autant qu'à tous d'ailleurs, mais elle ne trouva pas, désagréable, le baiser d'Elettra, tout en regardant Amber qui semblait amusée.
***
— Je peux savoir, Elettra, pourquoi tu ne l'a pas tué, lui demanda Christina, totalement éméché, tout autant qu'Eltirra, elles se passaient la bouteille de vin entre elles.
— Voyons, mon cœur, pourquoi aurais-je gâché leur plaisir de l'achever eux-mêmes… Ils ont tant fait pour nous tous. Ça m'a semblé juste. Voilà. Arriva-t-elle à prononcer, dévorant le sexe d'Amber. Christina embrassait son amour et lui caressait les seins. Des soupirs se satisfaction augmentaient rapidement
— Oui… vu sous cet angle…. Attention, attention! Je crois qu'Amber va atteindre son cinquième orgasme. Oreiller Eltirra! Ça va maintenant... Elle va ronfler un moment. Je te fais envie, demande Christina, totalement excitée?
— Et comment donc. Mais tu ne crois pas qu'on va tromper Amber, si elle n'est pas de la partie?
— Pas vrai, au secours, une Guillermo-fille.
— Ok, ça va, j'ai compris, Christina, tu repasserais ta langue sur mon clitoris, ça me rend complètement dingue. Dire que je me croyais frigide.
— Tourne-toi, Elittra, je vais t'apprendre un truc pas mal.
Les filles ne calculaient plus le nombre d'orgasmes qu'elles atteignirent, cet après-midi là. Ça en frisait l'indécence. Eltirra était vierge. Jamais un homme ne l'avait pénétrée, ni même embrassée. Lorsqu'elle partagea la couche de Guido, elle lui expliqua tout. Pourtant, grâce à sa main experte, elle finit par lui donner tout son plaisir. Il atteignit des sommets et s'endormit. Sans savoir, les femmes l'attiraient. De plus, à la joie, à peine contenue de filles, Eltirra en était amoureuse. Christina et Eltirra croulèrent toutes les deux aux cotés d'Amber et s'offrirent une petite sieste, bien entrecoupée d'un tas de baisers, à la volée et d'attouchements surprises.
***
Ok les gars, nous avons un boulot à terminer, lança Amber. Pas de traces de notre passage. On doit tout ratisser, tout nettoyer. La commune va nous aider. Guido est déjà sur place avec une excavatrice. Nous enterrerons tout ce petit monde, y comprit vos carabines, vos casques, enfin tout, et nous laisserons d'immenses rochers recouvrir le sol. Sans corps, il n'y a pas de crimes. Vous serez tous couverts.
— Des questions, demanda Amber?
Le travail débuta. Après plusieurs heures d'efforts, supervisées par Amber, il n'existait plus rien du passage de la vendetta. Le domaine reluisait de propreté.
***
Revenu à la casa Torelli, Guiseppe sauta dans les bras d'Amber. Il avait de la difficulté à contenir ses émotions, ce qui valait aussi pour Amber. La vie pouvait reprendre son coure.
— Maintenant une dernière petite chose, Guillermo, tenant le bras de sa belle Catarina, qu'y a-t-il dans ces cartons tout au fond de la camionnette?
— Que les micro-ordinateurs que tu as demandés, ainsi que les téléphones portables. J'ai cru bon joindre des sous, ce qui s'avérait inévitablement nécessaire. Le tout parvenu jusqu'ici par fret aérien, avant que tu ne poses la question. Rien n'est contrôlé.
Christina et Amber offrirent aux chasseurs-mercenaires la somme de dix milles euros chacun, ainsi qu'un micro-ordinateur et un téléphone portable.
— Voilà pour toi Guiseppe, 150 000 euros, afin de relancer ta production. Promet-moi de vous entraider entre communes.
— Une promesse d'italien, Amber, tu peux t'y fier. Mais dis-moi, te voilà une tueuse bien généreuse…
— Tu as raison. J'imagine que l'un n'empêche pas l'autre. Christina en pleurait, comme toujours. Elle s'engouffra dans les bras de son grand-père et dans ceux de Filippo, cet oncle plus qu'attentionné.
— Je peux t'embrasser, Amber?
— Oui, Guiseppe, mais sans la langue, «ce qu'ils la rirent tous, de nouveau.»
— Tu ouvriras un compte à numéro dans une banque de Palerme, ça ne devrait pas poser de souci. Nous te ferons des transferts de sous, autant que possible. Une dernière demande, tu pourrais adopter les sœurs d'Eltirra?
— J'allais le proposer. Elles résideront ici, dorénavant. J'imagine qu'Eltirra s'envole avec vous…?
— Quoi d'autres, mon ami.
***
Guillermo, se vit vertement avisé par Eltirra et ce, ouvertement:
— «Je te confie Catarina. Je te fais la peau s'il lui arrive ne serait-ce qu'une égratignure.»
— C'est bien compris, madame, bien compris.
— Pas vrai, madame maintenant.
— Alors, c'est donc vrai, on se quitte, Pedro regardant Christina et Amber. Je crois que le QG déménage, si ça vous convient. Notre vie se trouve ici maintenant. Amber et Christina prirent Pedro dans leur bras et lui firent un câlin digne d'un roi.
***
Des adieux à tant de monde, ça ne peut se faire que globalement. La mission de Christina et d'Amber se terminait. Elles troquaient Guillermo contre Eltirra, mais de bonne guerre. Eltirra fit ses adieux à ses sœurs; une des rares fois où elle versa une larme. Un vol les attendait. En route pour le Nebraska (U.S.A.) la famille d'Amber l'accueillerait-elle... Viendrait ensuite le cas de Rachid Kahn.
Une histoire de ranchers qui débutait… … ...
Un massacre d'ampleur ! Mais pas trop gore. Il ne fait pas bon se trouver dans le camp d'en face. Mais être dans le camp des filles peut s'avérer dangereux...
· Il y a plus de 8 ans ·thesecretgardener
Comme le disait Amber, un travail sans bavures. Carabine, arcs et silencieux. Ils font tout disparaître. Même la communauté s'en mêle. Amber demeure ce qu'elle est , et même davantage. La présence d'Eltirra ajoute à ce que tu dis, Pas trop gore effectivement. Stratégie avant tout - bise, Soso..
· Il y a plus de 8 ans ·suemai