Amour sans sexe
Hyacinthe Viroulaud
Trouver le plaisir de composer pour elle, dessiné notre union en passion
Comme collaborer, pas sans compétition car d'autres veulent jouer, avec les mots de ma chanson
Se lâcher, choisir les bons sons, pour que les mots en deviennent profonds
Tenir bon, s'investir ! et travailler le fond
Un élément reste capital, fondamentalement, le zeste musical
Je veux bosser, seul avec ma composition
A fêter, en son, ma promotion
Car promu dans ce boulot, je suis, mon propre patron
Contrôler seul mes gestes, m'en fatiguer tant bien que mal
A faire, que dalle
Seulement suivre la partition, laisser libre mon inspiration
Des mots en cavale
Portés par une envie sans nom
Je joue, à truander une musique de fond, par accroche brutal
La brute, le truand ! Peu m'importe, on n'en retiendra que le bon
A l'unisson, mon son et mon sang
Passant par la, l'unique sens, pas de mensonges
Il est déjà l'heure, passons encore un instant
A rêver, que notre union se prolonge à travers le temps
Et que malheureusement
Les autres n'ont pas suivis le sens du vent
Je t'offre ce texte, de fautes grammaticales, sans conteste
Mes prétextes, envolés, radicale
Escompté, un mot rassure l'autre, amical
Pas de stress, comme envouté, d'une liaison sans sexe
Prendre des risques, se mettre à nu, sans complexes
Les capotes de coté, vas-y laisse
Pour que ne me blesse mon amour des textes
Ecrire en vitesse, à devenir fou de demain, et des « mourras t'on ? »
Mais à quoi bon, ou est le principal ?
Je ne le sais pas, mais moi je joue sans mal
A truander une musique de fond, par accroche brutal
La brute, le truand ! Peu m'importe, on n'en retiendra que le bon
A l'unisson, mon son et mon sang
Passant par la, l'unique sens, pas de mensonges
Il est déjà l'heure, passons encore un instant
A rêver, que notre union se prolonge à travers le temps
Et que malheureusement
Les autres n'ont pas suivis le sens du vent
Ils comprendront, j'espère à temps, qu'a la fin
Il n'en restera qu'un, ……..un long moment