Avant que paraisse
boukinoli
Avant que paraisse
Névé du jour au secret
Dans la nuit lourde et lente de l’attente
Tu règnes intemporelle
Des hurlements de crainte
Ont construit la passerelle
Et j’ai rêvé de toi
De furieux martellements
Ebranlent les parois frêles
Qui m’ajoute ici près
C’est le cœur de la nuit
Qui réclame son du
C’est le cœur assidu
Fait de timbres et de bruits
D’alarmes rougeoyantes
Atténue la pression de ton souffle
Sur les images
Elles flamboient
Elles miroitent térébrantes
Elles sont sur moi
Indéfectibles
Je suis leur cible leur double leur lointain
Depuis qu’elles poursuivent l’homme
La seule bête des cieux
Qui répande une odeur
De tiges coupées et de terre creuse
La seule bête morte en mimant le soleil
Images stridentes qui allez glapir
Lorsque lèvera l’aurore
Je détourne mon cours
Et replie mon filet
Aux mailles caverneuses
Je ne puis rester debout
Près de vos cris circonflexes
Une ample mesure noie
Les restes de l’obscur
Chante celle qui va enfanter
Au-dessus de la passerelle de nulle-part
*** (ça c'est du commentaire!!!) lol
· Il y a plus de 13 ans ·elfee
La faucheuse en dernier sacrement..
· Il y a plus de 13 ans ·leo
Ca sent la mort.
· Il y a plus de 13 ans ·Marcel Alalof