Bibliothèque.

glow

C'est dans le vide que mon sourire se jette.

C'est dans le vide qu'il se ramasse, qu'il griffe son visage et qu’il se fracasse.

C’est dans ce vide silencieux que les intellectuels se concentrent.

Les bruits de la bibliothèque, n’est-ce pas mystérieux comme nom  ?

N’est-ce pas primaire, banal ou juste trop simple ?

J’y suis, à l’instant et j’ai eu cette envie de m’laisser aller.

De m’déconnecter de cette secte silencieuse et de poser quelques lignes.

C’est des ces bruits étranges que l’inspiration fait son apparition,

Dans un regard étrange, un sourire, une odeur qui s’mélange.

C’est dans le chant d’un clavier que les pensées se mettent,

Dans un stylo que les synthèses s’installent confortablement sur la banquette.

Il y a des bruits de bibliothèque, des bruits qui diffèrent

Des bruits intellectuels, des bruits qui s’réfèrent

A leurs étudiants et à leurs pensées,

A leurs forcent de vouloir avancer.

J’me suis baladée dans les allées des bibliothèques,

J’ai aimé les rimes, les phrases et les pensées philosophique,

La justice, le droit et les lois dans celle de droit.

Les parfums qui diffèrent, et Les idées aussi.

Les bruits.

Autour de moi, la concentration prime à l’instant,

Je ne sais que faire, que penser de mon comportement.

Dois-je avoir honte d’écrire, de penser si fort

Lorsque les âmes autour réclament le silence ?

Dois-je me rétracter face à la majorité ?

Ils me fascinent autant qu’ils sont,

Ils m’observent en silence et critiquent peut-être

Ils étudient leurs leçons,

Et apprennent pour devenir.

Je rêve et j’observe,

J’écris et je dis.

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