Ô capitaine, mon capitaine, tu es libertaire De ta bouche m'impose le silence, me fais taire Tes mains voguent sur les flots de mes fantaisies Je fredonne le chant des sirènes, t'emmène dans l'oubli
Par le pouvoir de ton trident, je surviens aux 40ème rugissants Par la force de tes reins, je suis tienne, amadouée, cyclone marin Le zéphyr parsème ton écume crée, fertilisée par notre temps Puis je m'abandonne au ressac qui nous berce de ce tangage lent
Tout comme Ulysse j'ai fait un beau voyage, songe amoureuse Comment oublier cette nuit aux errances iodées doucereuses J'ouvre les yeux, m'étire, j'entrevois encore cet onirisme, rêveuse Surprise par la douleur d'une écharde de woodwork, inquiétant
Belle odyssée charnelle, avis de vent fort ! ;))
· Il y a environ 4 ans ·Patrick Gonzalez