
Lenteur
Patrick Gonzalez
Peinture Malcom Liepke
que dire ?? j'aime écrire,, !!!
le petit dernier est en vente
https://www.edilivre.com/vertiges-patrick-gonzalez.html
Peinture Malcom Liepke
Peinture Emmanuelle Arsan
Peinture J.Véttriano
Peinture Edward B Gordon
Peinture Edward B Gordon
Peinture J.Vettriano
Peinture Jack Vettriano
Peinture Fabian Perez
Peinture Jack Vettriano
Photo Déborah Sheedy
peinture Malcolm.T.Liepke
Tous ces mots bout à bout, ces vers que j'empile, ce songe épistolaire, en longues phrases agiles. ce désir puissant, ce rêve indélébile, ces qua...
Photo Bibi...
Peinture Fabien Perez
Peinture Fabien Perez
Peinture Malcom Liepke
dessin Thomas Hrivnac
Peinture G.Courbet
Peinture Frida Castelli
Peinture Frida Castelli
Ni les arbres qui sombrent au froid des allées noires, ni le jour défaillant en nuances de rose, ni les lampadaires usés qui s'inclinent au silence...
Aux heures moites, étouffantes, lorsque le corps meurtri se dissout aux baisers des moustiques. Avides les sangsues, la malaria qui danse, la sueu...
Peinture J.Vettriano
Peinture Fabien Perez
C'est l'obscur silence, le chaos silencieux. La nuit froide, glaciale et le jour qui s'estompe. La vie, la pauvre vie qui résiste, s'agrippe aux s...
Peinture M.Liepke
La grisaille des jours, la froideur des nuits, c'est l'hiver qui s'avance, le visage masqué, le grand parc désert et le temps qui s'enfuit, bel é...
Peinture M.Liepke
Peinture M.Liepke
Peinture Malcolm Liepke
A la faveur de l'automne, en un effeuillage voluptueux, t'offrir les arguments d'un sensuel parfumé d'un soupçon d'immoralité Les quelques gram...
Reveil sensuel
normalement sans titre, se livrent ces mystérieux élans
I Love You ...
si courte nuit, peinte aux vives couleurs d'une sans-espoir... entre ciel et terre...
S'aimer comme on se quitte, sous un manteau d'obscurité, dans l'antre de la différence, lorsque nos corps jouissent en transe. J'ai en mémoire ...
9 janvier. Aujourd'hui, je fais la cuisine. Ce soir, on a du monde, et avec le couvre-feu, on aura du monde ce soir et toute la nuit, ce qui nous l...
Emotions éphémères
Cueillir encore ce parfum qui flotte…seul vestige à peine palpable, de ton passage ici-bas. Mais il me reste, collés au cœur, chiches souvenirs, pe...
Ne compte pas ce qu'il reste d'étés N'en resterait qu'un seul, nous saurions l'épuiser comme le condamné convoite l'aube recluse, l'égaré la premiè...
Comme elle (regrette) infiniment , ces hauts plateaux sous le vent , les prairies d'altitude offertes au ciel d'été ,<p...
A succube de nuit j'assouvi vos envies, mains à la nuque et fluide thermique. Sur vos lèvres un baiser se pose, tel une annonce de prose à la métho...
Un gars, ça baise mal une fille ... Je préfère nettement les petits sexes intérieurs.
Et ce soir je t'écris sans aucun espoir, ce soir je t'écris pour déverser ma peine [...] J'ai peut-être l'air désespéré à te supplier ainsi mais j'...
Hommage au livre de ce nom, de Stefan Zweig.
Mes premiers partages ici sont une plongée dans mes bribes d'écriture d'adolescence et d'aujourd'hui.
ben v'la un discours mais plutôt une traduction du premier paragraphe à mon portrait d'auteur de Effect - c'est pour être compréhensif pour les ceu...
dans ma série "portraits d'auteurs": Effect
dans ma série "portraits d'auteurs": Patrick Gonzalez
Texte au thème imposé: l'amour, la relation entre l'écrivain et son lectorat. (Inspiré de Ma Plus Belle Histoire d'Amour - Barbara)
Une épouse délaissée, par des doigts délicats délacée, De sa robe noire et son corsage, mise à nue d'une poitrine délicate. Une épouse délacée, pea...
Au début il y a eu le vent... puis il s'est immobilisé comme un pied de parasol planté dans du sable.
Le temps n'a que l'importance qu' on lui accorde...
série : "hk1"- 002" :
Les goûts et les couleurs Sans doute et sans peur Le premier des hommes A soigner l'hématome. Tes goûts et mes couleurs Avec angoisse et fle...
J'ai remanié un peu mon premier texte... Si vous souhaitez le relire.
(Pastiche: « Patrick Gonzalez») Aurai-je droit à l'effet miroir ?
pensée du chat (juste pour déclencher un petit sourire )
Du nacre de la soie, j’ai habillé mes seins...
La Vie Cocasse Où rien n'arrive Et tout se passe.