Cathy Ingalls

malfie

Etant une fille très créative et pleine d'inventivité, j'ai réussi à dissimuler les abominables marques que l'abominable moustique (enculé!) a laissé sur mon merveilleux corps (de rêve).

Pantalon en lin, un peu large, mais sexy (enfin, je crois...).

Chemisier léger à manches longues. 

Maquillage pour les piqûres du visage (on n'a pas vu mes yeux pendant 24h! 'culé de moustique!!).


Je suis ainsi à peu près présentable même si dans l'impossibilité de :


- mettre mes jupettes et autres petits-t-shirts-moulants-attrape-garçons, sous peine d'exposer ma peau tachetée d'innombrables piqûres de moustique à l'air libre. L'allergie qu'elles me provoquent leur donne une couleur magenta virant violet. Inadmissible au pays du glamour. Mourir, je veux.


- m'exposer au soleil, au risque d'aggraver mon cas. Je passe mes journées sous le parasol. Je vais donc rentrer en France aussi blanche que mon cul.


- emballer un garçon. 

Déjà parce qu'il faudrait que je ne sois pas vêtue du combo pantalon-chemisier-manches-longues sur la plage. Avec mes deux tresses, j'ai carrément l'air d'une Amish. Ou de Laura Ingalls qui aurait pris un bus. 

Ensuite, pour emballer un garçon, il faut être dans l'état d'esprit de la chasseresse. Telle Diana, la déesse. Etant dans l'impossibilité impossible de me dénuder puisque convalescente d'une attaque de moustique à dards armés, je ne suis pas vraiment dans l'état-d'esprit-de-Diane-la-déesse-de-la-chasse.

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http://chroniquesdecathybrochet.blogspot.com/2013/01/cathy-ingalls.html

Cathy

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