Ce putain de "vivre ensemble".

Christophe Hulé

Le « vivre ensemble » des bisounours de service, à savoir nos « élites », qui méritent de moins en moins ce label, le « vivre ensemble » donc a pris du plomb dans l'aile.

Aujourd'hui, pour faire court, chacun est victime de quelque chose, son voisin de palier, ce « sale blanc mal dégrossi », ce noir patibulaire, cet arabe qui refuse l'harmonie de la symphonie républicaine, ce métèque qu'a une sale gueule (hommage à qui vous savez), enfin cet étranger qui n'est pas vous.

Quand on est seul, c'est déjà bien difficile de se supporter soi-même.

Parfois je me dis que de n'être pas en guerre permanente tient du miracle.

Les chevaliers des uns sont les terroristes des autres.

Putain de monde.

Il semble peu exagéré de dire que la cocotte est prête à exploser en ce XXIème déjà bien entamé, eh oui, presque 25 ans, c'est presqu'un quart de siècle (prenez-en de la graine bande d'ignares ou de pochtrons, ou les deux).

Bref c'est l'ère du couteau ou de la kalachnikov, faut bien innover et que jeunesse se passe.

Nos grands parents qui ont vécu l'occupation ne serait nullement dépaysés s'ils étaient encore en vie.

A chaque siècle sa Croix, ou son Croissant, etc. pour n'oublier personne, et puis je veux pas d'histoire, mais vivre le plus longtemps possible.

Nous sommes revenus au bon vieux temps des massacres et des tortures, au moins ça nous change des soupes américaines qui inondent les chaînes.

Les Ukrainiens peuvent bien crever, on zappe, on zappe !

Où est le discours d'Arlette : «  le patronat vous spolie ».


https://www.youtube.com/watch?v=fViHry4Rilk


« Ton casino c'est qu'un tas d'pierres ».


« Oh oui, j'aimerais tant que tu te souviennes, des jours heureux où nous étions amis ».


Tous ces fous qui nous culpabilisent à dessein, appuieront sur le bouton rouge pour faire sauter la mise.

Espérons que quelques espèces profiteront du jackpot quand nous ne serons plus.

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