ce texte est aussi en bordel que dans mon esprit, actuellement
compteclos
Parce que j'ai l'âme en décomposition,
Vague à l'âme sans passion,
Mais toujours avec déraison,
Amen.
Sur ta bouche décousue,
Je dessine, de ma main nue,
Des paysages inconnus,
Si j'avais su,
J'aurai censuré mon âme,
à tes douces flammes,
Qui ont égaré mes larmes,
Qui m'ont fait rendre les armes,
Devant ton être divin,
Je t'ai laissé touché mes seins,
J'ai cambré mes reins,
Sous tes mains,
Je me suis donnée à toi,
Moi l'impie des lois,
J'ai fais de toi, mon roi,
Jusqu'à m'en bousiller le foie,
Tu étais l'erreur dans la matrice,
Le calcul de l'artiste,
Celui qui devient triste,
Qui cause des sinistres,
Je suis celle,
Qui lutte, dans sa nacelle,
Je suis belle,
Mais qu'est-ce que je suis laide,sans mes ailes,
Rends moi Liberté,
Du bout de mes doigts ensanglantés,
Fais glisser sur moi, ta bouche adorée,
Dévore moi, à me tuer.
fait pas tout les jours beaux, sur ta planète. Il est beau ton poème, il a du cœur.
· Il y a plus de 6 ans ·goodcyrilwriting
Merci beaucoup.
· Il y a plus de 6 ans ·compteclos
« Dévore-moi, à me tuer. » Très joli ! Bien que lorsque l’on aime, on parle à deux. « Dévore-moi à nous tuer. » car sa propre mort n’est envisageable que par une mort double dans l’unicité. :o))
· Il y a plus de 6 ans ·Hervé Lénervé
Je prends note ! Merci !
· Il y a plus de 6 ans ·compteclos