Chapitre 21 - LE CŒUR ET LE CANON

suemai

Maniakaya ne pouvait qu’intervenir. Il se devait à la vérité, à ménager le dernier et si difficile parcours terrestre d’Amber.

— Alors Maniakaya, si on discutait tous les deux, suggère fortement Amber, calée dans son fauteuil.

— Amber, il existe des choses qu'il faut vivre, afin de mieux les assimiler. Voilà la raison de mon silence. Tu devais apprendre de ceux qui subirent la dictature de ta mère.

— Donc, tu savais tout, tant pour mon sang Pawnee, que pour toute cette histoire, concernant cette salope de Mary, cette mère odieuse? 

— Ne sois pas si aigrie par les événements et ne juge pas trop sévèrement. La colère ne mène nulle part, et tu le sais bien. Il existe toujours une explication à toute chose. Crois-moi, jamais rien n'est simple dans cette vie, et jamais rien ne se produit pour rien.

À cet instant précis, Amber comprit que Maniakaya était ce vieux Pawnee qui adopta sa mère et protégea, par la suite, Zoey. Amber le fixait sans trop savoir comment réagir. Ses yeux se vitrifiaient et Maniakaya ne pouvait qu'intervenir. Il se devait à la vérité, à ménager le dernier et si difficile parcours terrestre d'Amber. Le regard d'Amber s'endurcit, lorsque Maniakaya débuta le récit.

***

Eltirra, n'y tenant plus, retrouva Vanity Jane accoudée au bar, à siroter son whiskey.

— Même chose, commande Eltirra.

Vanity se retourna et la salua. Elle cala son verre et s'en offrit un second.

— Quelque chose qui ne va pas, Eltirra, s'enquerre Vanity?

— Si, justement, lance-t-elle.

Vanity sentait monter le courroux d'Eltirra, pour l'amour qu'elle vouait à Amber. Elle savait que cela se produirait un jour, mais pas aussi promptement. Elle se décida à une attitude froide et dénuée de toute agressivité.

— Alors, Eltirra, que désire-tu savoir?

Un moment se passa avant qu'une seule parole ne se profère. Deux whiskeys étanchèrent des gosiers secs et Eltirra débuta enfin.

— Je veux un duel et aujourd'hui, Vanity!

— Pour quelle raison, exactement?

— Je désire savoir, qui, de nous deux, possède les plus beaux pieds.

Vanity en tomba pratiquement à la renverse et se mit à rigoler, sans pouvoir se contenir.

— Ça te fait glousser…!

— Euh… en fait, oui. Je croyais que tu désirais un duel, parce que j'avais fait l'amour avec Amber.

— Quoiiiiiii!!!!! Raconte! T'as pris ton pied, zut pardon… tu as aimé, parce que je sais qu'Amber peut-être, parfois, très exigeante. Mais c'est une super partenaire au lit. Je suis heureuse pour toi.

Vanity commanda aussitôt deux triples whiskys, ne s'attendant pas à cette réaction, 

— Assied-toi, Eltirra, on va trinquer. T'es vraiment une fille plutôt particulière. Vous êtes toutes plus ou moins surprenantes, en fait.

Elles papotèrent un bon moment…

— Quoi, elle t'a pratiquement violée… ça alors…

— Mais non, rectifie Vanity, c'est moi qui résistait, j'en avais une envie folle, mais tu sais chez les Pawnees, les règles sont strictes.

— Ouais, je comprends. Tu m'en dis plus?

— Qu'est-ce que tu veux savoir?

— Ben tout… enfin, tout ce que tu veux me dire.

— Ok, le gros truc! Il semble que j'éjacule, c'est spécial non, ça t'arrive à toi?

— Quoiiiiiiiiii!!!!! Tu me blagues là… sinon, t'es une fille drôlement chaude.

— Oui tout à fait vrai, Elitrra, c'est comme je te dis.

— Et ça te fait quel effet, tu le sens, ça picote, ça fait mal?

— Non, c'est comme si j'avais, soudain, une super envie de pipi et là, je tombe en convulsion, comme dit Amber.

— La vache, t'es «hot.» Tu crois qu'on pourrait… tu sais… toi et moi…?

— Tu me dragues???

— Ben oui, t'es super canon… tu m'fais envie… et pour le concours des pieds, tu ne m'as toujours pas répondu?

— C'est comme tu veux, Elitrra, s'esclaffe de nouveau Vanity,

— D'accord, d'accord. Un panel de dix personnes qui se prononcent et déclarent le vainqueur, ça te va?

Vanity en pleurait et accepta tout. Eltirra, un peu saoule, sortit.

— «Par contre l'idée de partager mon lit avec elle, pensa Vanity, ça m'excite, J'serais partante, se dit-elle. Une sacré belle fille et drôle de plus.»

Elle pouffa de rire à nouveau.

*** 

Maintenant, je vais tout te raconter. À cette époque, j'étais le plus ancien Pawnee de la tribu. On venait me consulter pour un tas de raisons, chasse, campement, routes, etc. Je devenais la mémoire des anciens. On me respectait et, d'une certaine manière, on me craignait aussi. Un vieil homme, de 70 lunes, s'entretenait nécessairement avec les morts, pensaient-ils tous. Le jour de l'arrivée de ton grand-père, Burt Sylverston, chez les Pawnees, fut marqué par une révolte au sein du clan. Je m'y suis opposé. Sous ma tutelle, il fut intégré à notre groupe. Malheureusement, il se produisit un incident. L'une des nôtres, «Giannis» une squaw, s'offrit à Burt Sylverston et fut engrosser. Cette fois, je n'ai pu soustraire ton grand-père aux lois des Pawnees. On le martyrisa jusqu'à ce qu'il meurt, «Giannis», tel le dictait la coutume, assista à toutes ces horreurs. Puis, Mary mit bas. À l'âge de sept ans vint le moment de la punition suprême. La mère et la fille furent attachées derrière un treillis de bois et marchaient, éloignées de nous. On leur donnait des restes de viandes et de l'eau trois fois par jour, que la quantité nécessaire à leur survie. Je me proposais quelques fois à cette corvée et là, je les faisais boire à satiété. Je fixais souvent les yeux de «Tikankwa», le nom de Mary en Pawnee, qui signifiait «Enfant du mal.» Son regard rougissait de haine et de vengeance. Puis, «Giannis» attrapa la maladie du soleil. Elle mourut rapidement. Mary fut alors seule à suivre le convoi. Elle marchait et marchait toujours, se taisant et regardant droit devant elle. Mary avait la volonté et la force d'un buffle. On me consultait, de plus en plus, concernant «Tikankwa.» Un jour, peut-être influencé par les esprits, j'ai parlé de mauvais augures à la tribu, expliquant que «Tikankwa» incarnait le mal tout puissant. Ils prirent tous peur et la laissèrent au sol, sans moyen de subsistance. Le soir même, je chevauchais un poney en direction du nord, Mary, pratiquement en délire, assise devant moi. Elle n'avait que 8 ans. Nous faisions des pauses près des rivières et lentement, elle reprit toute sa force et sa vigueur. Je m'en réjouissais. Pendant près de 7 ans, nous suivions d'anciens chemins que j'étais seul à connaitre. Elle devint très habile à la chasse, ce qui devenait nécessaire, étant donné ma vue qui faiblissait. Une journée comme les autres, il y eut un coup de feu et une balle m'atteignit à l'épaule, je m'écroulai aussitôt. Mary chevaucha le poney et poursuivit le tueur. Lorsqu'elle le trouva, elle le scalpa, lui creva les yeux et lui fit subir les plus atroces tourments, qu'un homme puisse endurer. Elle revint près de moi. Elle pensa temporairement ma blessure et me raconta tout. Une telle haine traversait son regard. Ce jour-là, j'ai compris que son destin s'avérerait horrible et terrifiant. Mary devenait une meurtrière et sans scrupules, sans pitié. Elle me ramena à un petit village Pawnee, et me laissa au soin du guérisseur. Elle repartit. J'ai su, par la suite, qu'elle pista le convoi qui la vit naître. Elle le traqua. À elle seule, elle tua plus de 20 âmes, hommes femmes et enfants, sans distinction. Elle incendia tout. Dix guerriers moururent brûlés vif. Un Pawnee, du village qui m'accueillit, me fit le récit de la destruction du clan. Il avait tout observé de loin. C'est ainsi que je perdis sa trace pendant 2 ans. Un jour, on me parla d'une jeune fille, un démon, qui ravageait la ville de Valentine. Je m'y rendis. Lorsque je l'ai retrouvée, il était déjà trop tard. Mary Sylverston vivait sa haine et plus rien ne pouvait, désormais, la contrer. J'ai assisté au meurtre de la mère de la petite Zoey. Je me suis emparée de l'enfant, Mary allait aussi l'abattre. Lorsqu'elle me vit, elle me jeta un œil méchant, mais me laissa m'enfuir avec la gamine. Je me souvins, alors, d'une petite ville en retrait de tout, Toxton, comme tu l'auras deviné et j'y ai élu domicile. C'est ainsi que Zoey devint une femme et qu'on me traita en patriarche. Je devins rapidement aveugle et on prit soin de moi. Un jour, se présenta une jeune fille, Vanity Jane. Elle élimina la vermine de la ville et y demeura. Nous sommes devenus amis. Elle nous sauva la vie plusieurs fois. Voilà toute l'aventure de ta mère. Je sais, un meurtre ne s'excuse pas. Pourtant te voilà tueuse, bien que je sache que tu ne traqueras que ceux qui doivent mourir. Mais, il s'agit, tout de même, d'un meurtre. Ta mère et celle de Christina ne lésinaient pas à accepter un contrat et sans discernement. Tu aimerais me poser des questions maintenant, Amber?

— Oui, mais ce sera pour plus tard. Il y a plus urgent maintenant.

— Oui, je suis au courant. Tu fais beaucoup pour nous, Amber. Essaie de ne pas l'oublier. Tu possèdes toutes les qualités physiques de ta mère, toute cette fougue, la force et la volonté du buffle, mais tu raisonnes avant d'agir. La voilà ta puissance et c'est ce que serait devenue «Tikankwa» en d'autres circonstances. Au fait, tu n'auras pas à informer Zoey que tu es la fille de Mary. Elle le sait depuis toujours et t'as reconnue dès ton arrivée. Tu vois comme la vie nous est parfois clémente.

Amber, salua Maniakaya, et sortit toute chamboulée. Elle tentait de faire la paix avec sa mère, mais n'arrivait pas à lui pardonner. Tant de crimes morbides, inutiles et gratuits.

***

— Non mais c'est grandiose ici, Stan!

— Tu... tu… aimes oui aimer pour vrai, vrai. Petite Christina, Christina, tu es si… si gentille… oui gentille, char... charmante Chris, Chris, Christina, et forte, oui, plus forte que les titans… titans. Je…

— Regarde-moi Stan, donne-moi tes mains et fermes les yeux. Tu vas te calmer. Respire profondément. Bien. Maintenant, tu répètes après moi : «Je suis heureux, Christina, que tu veuilles bien venir chez moi.» Laisse tes yeux fermés et tes mains dans les miennes.

— Je... e… suis heureux, Chris… Christina que tu… tu… veuilles bien ve... nir chez moi.

— Maintenant ouvre les yeux. Il faut que tu reprennes confiance en toi. Il n'y a rien de stressant ici. Si tu veux, on va te rééduquer, qu'en dis-tu?

— Oui, oui, douce Christina, je… je… veux oui, veux… bien, oui… je suis d'ac…cord.

Le fameux moulin, servait bien de distillerie d'alcool, mais ce n'était qu'une infime partie de la raison de son existence. Vanity achetait les grains de blé à Valentine et Sam les transformait en farine, laquelle se retrouvait dans des sacs et revendue à la ville. Les marchands se disputaient les arrivages. Pour broyer le grain, Stan utilisait les vieilles méthodes de fabrication, soit par frottement de meules actionnées par le rouage des palmes d'eau. Dans une pièce, Christina y découvrit un véritable laboratoire. Des ordinateurs jonchaient des tables, et des livres s'empilaient un peu partout. Tout ce matériel avait une fonction précise. Stan usinait des pièces de métal introuvable, il observait les étoiles grâce à un télescope pointant une fenêtre perforée dans la toiture du moulin, il dessinait aussi les plans des maisons à construire. Il planifiait et supervisait toute la mise en place de nouveaux équipements, réseaux d'eau, aqueducs, éoliennes et il travaillait à développer de nouvelles sources énergétiques. Une énorme antenne parabolique pointait au sud, et lui donnait accès, entre autres, à internet, en plus de capter certaines chaines télé, signal acheminé vers les téléviseurs du tout Tuxton. Il s'agissait bien d'un génie, comprit Christina, Ils sortirent ensemble et retournèrent rejoindre le groupe. Christina lui tenait toujours la main.

— Alors Pedro, qu'est-ce que ça donne?

— De ce que j'entends, et du rapport de chacun, ce sont de véritables virtuoses. Je crois que du coté de la Winchester, ça va aller.

Vanity et Eltirra travaillaient cote à cote. Amber en resta un moment surprise. Elles se regardaient tout sourire. Amber ne put que s'en réjouir. Du coté de Zoey, Harry jouait les princes charmants, il s'assurait que la lunette d'approche, de sa carabine demeure propre et il l'alimentait en chargeurs. Voilà qui fit bien rigoler Amber. «Chère Zoey, se dit-elle.»

— Ok, ok, ok, vous passez chacun vos ceinturons et vous ajustez tout. Vous devez conserver toute votre mobilité, ordonne Amber.

Le velcro se retrouvait cousu sur tous les jeans du petit commando. Vanity, Zoey, Eltirra, Christina, Harry, Tom, Snipes et finalement Amber.

— D'accord, nous travaillerons les armes les unes après les autres. Votre pistolet, le Sig Sauer, est équipé d'un laser de visée. Vous pointez, dès que le faisceau rouge apparaît, vous tirez. vous ne pouvez rater votre cible. Au boulot maintenant. J'oubliais, ces pistolets sont alimentés par des chargeurs contenant 13 balles chacun. Vous retirez le chargeur vide, et vous plaquez le nouveau. Il s'agit d'un calibre 9 millimètre, très léger, ayant une bonne portée de tir.

Amber laissa la petite armée se familiariser avec l'arme. Encore une fois, ils cartonnèrent. En moins d'une heure, ils avaient tous assimiler l'essentiel.

— Bien! Clame Amber, le tir devenant plutôt nourri. Nous passons au Uzi. Il s'agit d'un fusil mitrailleur, aussi utilisé comme pistolet. Les chargeurs contiennent 32 balles. En position coup unique, il s'avère très précis, en mode rafale, beaucoup moins, mais il vous assurera de causer pas mal de dégâts. Chargeur sous l'arme, près du chien, réglages sur le dessus en quintuple positions, bonne portée de tir. Je vous laisse vous amuser.

Christina, supervisait aussi de son coté. Stan ne la quittait plus. Vanity en demeurait abasourdie. Naturellement, le tir en rafale plaisait davantage. Amber et Christina gérèrent l'utilisation de l'ensemble des positions ajustables du Uzi. Il fallut quelques heures cette fois. «Avec le temps, il deviendront tous familiers avec l'arme, se dit Amber.»

Ce fut au tour du canon court, «pouvant faire éclater une tête, commenta Amber», puis, le sig sauer de cheville, utilisé à courte distance. Les couteaux à crans d'arrêt mixtes. L'ajustement du gilet pare-balles, l'insertion des chargeurs dans les diverses pochettes, et finalement, l'utilisation de l'ensemble, incluant le port de cache-poussière. C'est à ce moment que se produisit un petit malaise. Personne ne savait dégainer en croisé. Pour Amber, il s'agissait d'une première,  selon un concept élaboré en s'inspirant des ceinturons des «Marie et Marie.» Bref ils se regardaient tous. Christina se souvint de la petite démonstration de Troy chez «Guns unlimited.» Elle dégagea son imper vers l'arrière et débuta par une dégaine normale. Puis, s'improvisant, elle fit une démonstration plutôt éloquente de la dégaine en croisé. Ce n'était pas parfait, mais ça illustrait, assez bien, le mouvement. Vanity devint rapidement la plus habile et, avec Christina, enseigna une technique plus qu'acceptable. Le mouvement pratiqué, au départ, reprenait celui du réchauffement par grand froid. Puis graduellement, ce croisement descendait jusqu'à hauteur de la hanche. Amber précisa que le Uzi, étant plus volumineux, s'agrippaient plus rapidement. La leçon finale vint de Stan. En les regardant tous travailler, il lui vint l'idée de faire pivoter le dos vers l'arrière, ce qui dégageait fortement l'accès aux armes. Christina tenta l'expérience aussitôt et le résultat devint surprenant. Amélioration de plus de 25% du temps de dégaine. Stan se voyait zyeuté par tous. Il donnait des signes de surexcitation. Christina alla le retrouver et lui tendit la main. Il se calma presqu'aussitôt. Encore une fois, Vanity s'y perdait. «Mais qu'est-ce qui se passe entre eux, se questionna-t-elle.» Tout donnait l'impression de la rencontre entre la belle et la bête.

— Allez, allez, tout le monde, on poursuit le travail.

Quatre heures d'entrainement suivirent, entrecoupées de 15 minutes de pause.

Zoey s'enfargeait dans son manteau cache-poussière. Amber utilisa un ciseau et trancha le surplus. Elle n'avait plus qu'à refaire l'ourlet. Amber se perdait dans ses pensées. Elle désirait discuter avec Zoey, lui dire comment elle regrettait pour sa mère. Mais d'autres plans, toujours aussi tordus, germaient lentement à son esprit…

  • un peu de mal à m'y retrouver mais c'est attirant

    · Il y a presque 8 ans ·
    Sirene coquillage3

    Elleetlui

    • alô Marlène, si tu n'as pas tout lu c'est plus que normal que tu t'y perdes. Si ça t'intéresse, je crois qu'il faut partir du début. C'est plutôt un roman découpé en épisodes . Sinon je pourrai t'indiquer les chapitres à lire (charnières), surtout là où j'ajoute des personnages, heureuse de te lire ++ (remarque que ça demeure qu'une suggestion)

      · Il y a presque 8 ans ·
      6a012876c02e5d970c019affb02dba970d 500wi

      suemai

  • Oui, c'est bien celui ci le chapitre charnière. Avec l'histoire de Mary, de Zoey et aussi des Clingos.
    La tension monte avant la bataille...

    · Il y a presque 8 ans ·
    Mojitoo

    thesecretgardener

    • de plus en plus, Amber se sent isolée. L'image de la mère en prend un sale coup et celle du père doit se régler prochainement. Tout semble jouer contre elle. Mais, comme le dit Maniakaya, elle est aussi forte et résistante que le buffle, qualités que possédaient cette mère odieuse. Désire-t-elle vivre ce rapprochement. Bien mal nantie, Amber, mais toujours décisionnelle; enfin il me semble:-))) J'apprends en même temps que toi:-))) bise

      · Il y a presque 8 ans ·
      6a012876c02e5d970c019affb02dba970d 500wi

      suemai

    • ah oui, j'aime aussi le rapprochement entre Christina et Stan. Une semence exploitable de mille et une manières:-))

      · Il y a presque 8 ans ·
      6a012876c02e5d970c019affb02dba970d 500wi

      suemai

    • Amber est décisionnelle, oui. Mais prendra t'elle la bonne décision ?

      · Il y a presque 8 ans ·
      Mojitoo

      thesecretgardener

    • question qu'elle se pose effectivement

      · Il y a presque 8 ans ·
      6a012876c02e5d970c019affb02dba970d 500wi

      suemai

    • De quel côté basculera t'elle ? Mais de toute façon, chacun de nous a un côté brillant et un côté obscur...

      · Il y a presque 8 ans ·
      Mojitoo

      thesecretgardener

    • je ne sais pas:-)))

      · Il y a presque 8 ans ·
      6a012876c02e5d970c019affb02dba970d 500wi

      suemai

    • mon si grand ami...

      · Il y a presque 7 ans ·
      6a012876c02e5d970c019affb02dba970d 500wi

      suemai

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