Chat Roulette

C’était  un dimanche. Dehors il faisait un temps qui incitait à se mettre sous la couette avec un beau brun, mais malheureusement pour moi, j’étais seule. Je me collai devant la télé, mais il n’y avait rien d’intéressant… Je m’ennuyais… Puis je me souvins d’une conversation que j’avais eue avec une collègue dans la semaine. Elle m’avait parlé du site Internet sur lequel elle avait rencontré son conjoint, Chatroulette. C’était un site de chat webcam. Elle m’avait expliqué qu’il suffisait de se connecter sur le site pour être mis directement en relation avec un inconnu homme ou femme, que l’on pouvait voir et qui nous voyait. Si il ne nous plaisait pas, il suffisait de passer au suivant, d’où le nom de roulette. Ma collègue m’avait précisé que l’on pouvait parfois tomber sur des personnes qui s’exhibaient.

 Dans mon lit, j’allumai donc mon pc portable et me connectai au site. J’installai la cam de façon à ce qu’on ne voit pas plus haut que ma bouche. Mon décolleté était lui largement visible et plutôt alléchant.

Premier interlocuteur une femme, je zappai.  Deuxième interlocuteur, un garçon qui ne devait pas avoir plus de seize ans, je zappai.

Les visages défilaient sans qu’aucun ne m’interpellent, jusqu’au moment où je tombai sur un couple. Ils étaient tous les deux si beau que j’en fus troublée… je ne zappai pas. L’homme me demanda de présenter deux doigts à la cam pour être sûr que j’étais bien en direct. Rassuré, il se mit à déshabiller sa partenaire sous mes yeux, me révélant un corps superbe. La nature avait été généreuse avec cette femme. Je ne zappai pas, bien au contraire j’étais très excitée et  je sentis mon vagin s’humidifié lorsque l’homme commença à caresser la lourde poitrine de sa partenaire, ses mains furent bientôt remplacer par sa bouche qui suçotèrent les tétons dressés.

Ce spectacle éveillait en moi le désir. L’homme me proposa de me déshabiller, et je m’exécutai, ne gardant sur moi que mon petit string blanc. J’eu alors l’idée d’aller chercher dans le tiroir de ma commode le sextoys qui m’avait été offert pour mon anniversaire et qui ne m’avait pas encore servit. Je me rallongeai devant le pc et le laissai à porter de main. La femme avait les jambes grandes ouvertes devant la cam, offrant à mes yeux un pubis rasé que j’aurais aimé pouvoir toucher… J’avais envie d’elle, de découvrir son corps magnifique, de plonger mes doigts et ma langue dans la douce chaleur de son intimité. L’une de mes mains caressa ma poitrine, l’autre descendit naturellement entre mes jambes. Je caressais mon sexe à travers le tissu faisant monter le plaisir. L’homme plongea deux doigts dans l’antre du plaisir de sa partenaire et commença les allés et venus. Hum… je fis de même après avoir enlevé mon string. Le couple me regarda me masturber. Satisfait du plaisir qu’il me procurait, le mal se dévêtit. Son membre énorme était en érection. Ma petite chatte se mit à dégouliner rien qu’à l’idée de le sentir en elle. J’aurais aimé que cette queue explore tous mes orifices. L’homme mit sa femme à quatre pattes et la prit sauvagement. Hum, je brûlais…une vague de chaleur emplissait mon corps et mes doigts ne me suffisaient plus. Je saisis l’énorme god et l’enfonçais d’un coup dans ma chatte. Je me positionnai jambes écartées face à la cam. Je commençai les vas et viens, faisant disparaître l’objet en moi. L’homme pénétra de plus belle sa partenaire, il lui tirait les cheveux, l’asservissant complètement à sa virilité. Je me sentais venir. Je n’en pouvais pu… Je tremblais. Je retirai le gode lubrifié par ma cyprine, de ma chatte et commençai à titiller mon petit trou qui s’ouvrit tout seul pour l’accueillir. Je m’acharnai dans un vas et viens rapide, allant de plus en plus profond dans ma grotte. Avec  ma main qui ne tenait pas le jouet, je caressais mon clitoris. L’homme se retira alors du vagin de sa partenaire et plaça son sexe devant son visage qu’il aspergea de son sperme. C’en était trop pour moi, je ne pus contenir mon plaisir, je me cambrai et dans un gémissement je jouis tel une femme fontaine, arrosant le drap de ma mouille.

Le dimanche suivant le temps était tout aussi exécrable, mais cette fois ma journée promettait d’être tout sauf ennuyeuse. Il était 14h. En petite nuisette transparente, j’attendais le couple qui devait me rendre visite.