Commentaires bienveillants mais sincères.

Moi c'est l'inverse, je n'ai jamais eu de portable, et j'ai profité de la nouvelle box orange pour ne pas rebrancher mon fixe.

Contrairement à mes textes lugubres, pas tous, il n' y a que de belles et joyeuses images dans les tiens.

Être bien et heureux dans sa tête, n'est-ce pas la garantie d'un Noël toute l'année.

C'est pour ça que je commente tous tes textes, j'essaie de percer ton secret. (avec aile68).

Excellent!

Il a dû lire "alcools", Bukovski, Hemingway, Rabelais, et tant d'autres.

Se saouler de mots, et pourquoi pas? (avec François Ville).

Génial, rites d'initiation scatologiques, j'ai adoré.

On aimerait que ce soit le début d'un roman du grand HL!

Enfin "on", moi en tous cas.

S'il y avait la nourrice, on aurait un passage freudien croustillant, avec ton humour qui ne l'est pas moins. (avec HL évidemment!).

Peu importe l'âge, combien de morts vivants, dont certains sortent à peine de l'adolescence.

Les yeux rivés sur les portables, comme des œillères high tech, des papillons de nuit qui se brûlent aux ampoules. (avec aile68).

Tout dépend de ce que l'on fait de la mélancolie, pour toi c'est de l'engrais pour faire naître des fleurs encore plus belles.

C'est vrai que les lectures, surtout d'adolescence, marquent à jamais. (avec ma Muse).

Moi pour le boulot, je tire les avis de décès en plusieurs exemplaires, y a plus qu'à changer la date.

"Mais c'est pas la même grand-mère qu'il y a deux mois?"

"Mais non, cette fois c'est du côté paternel!"

" Si j'ai bien compté, celle-ci est morte cinq fois déjà!!" (avec HL).

Je ne retiens de mes souvenirs de jeunesse, que la sensation des sensations qu'hélas j'ai perdues. (avec François Toska).

Il paraît que c'était un coup des claudettes, pas commode le blondinet à paillettes. (avec yl5).

Oui, c'est de l'auto censure.

Je préfère le vrai courage du droit au blasphème à l'humour bête et méchant qui rend les gens encore plus cons. (avec François Ville).

La richesse dont tu parles, peu ont ce privilège de la posséder, tu dois être d'une autre planète, celle des fées peut-être? (avec la Reine des Fées).

C'est vrai, quand la douleur est là, on se retrouve bien seul.

Je crois que c'est ce que l'on redoute le plus, plus que la mort.

Mais c'est aussi ce qui nous donne envie de profiter de l'instant.

A ce propos, certains sont plus doués que d'autres.

Toi tu devrais donner des cours sur le bonheur et faire des conférences dans le monde entier. (avec la même, qui me bluffe à chaque fois).

Les libres arbitres ont-ils jamais sifflé la fin d'un match? (avec François Ville).

Voilà des vœux qui devraient inspirer ceux qui prétendent diriger quoi que ce soit, un peu d'humanité, au point où on en est, même une goutte ferait la différence.

Bravo encore et toujours pour vos magnifiques poèmes, plein d'espoir et sans aigreur. (avec Mokhtar El Amraoui, le Maître).