Crescendo

fanche

petit à petit

Des larmes qui recouvre le corps,
désaltérant le royaume des morts,
où gémit sous les tuniques froides,
mes pensées galopantes escouades.

effleurer du bout du peu,
le parchemin sirupeux,
tendre au sourire,
ou penser à mourir.

Mais las,hélas de ces vas et viens cognitif,
se soustraire de ces brins récréatifs,
lorsque vient le spasme,
éreintant, fantasme.

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