Critique pure de la raison

Ce titre doit parler à bon nombre.

Je n'ai pas la prétention de me mesurer à Kant et son ouvrage fondamental La Critique de la Raison pure, ni à tout autre philosophe d'ailleurs. Ouh la, non !! 
D'autant plus qu'à l'époque, cet ouvrage m'avait soûlé, mais soûlé d'une puissance presque industrielle. 

N'empêche que je suis devenue adulte (On croirait pas comme ça, je sais) et j'ai fini par saisir à peu près ce que je trouvais si chiant avant :
Notre connaissance ne saurait dépasser les limites de l'expérience. 

Je vais développer un tout petit peu.
Je ne vous prends pas pour des cons, loin de là ! M'enfin... de la "philo" un dimanche soir, ça fait pas rêver. Il est loin le temps du film carré rose sur M6 hein ? 
Et c'est aussi pour vous épargner une migraine... ou pour m'épargner la mienne qui commence à palpiter sur mes tempes (à moins que ce ne soit le résultat d'un week-end un peu trop arrosé ?).

La critique ... Les critiques... CA M'ÉNERVE !!!!! 

Pourquoi les gens se sentent-ils obligés d'émettre des critiques sous le fallacieux prétexte qu'elles sont constructives ? 
Pourquoi ces dites critiques constructives sont-elles émises la plupart du temps de manière négative, en public et sans autres arguments que des simples : Je suis comme ça, les goûts et les couleurs..., je suis entier(e), je suis sensible, c'est humain...
Genre, la personne en face qui se bouffe les critiques ne l'est pas ? 

J'ai naturellement ma petite théorie pour répondre à ces pourquoi.
En deux mots : La connarditude ! 

Attention, la connarditude peut toucher absolument tout le monde sans distinction aucune.
Ce virus est même bien plus virulent que l'actuel Covid qu'on mange à toutes les sauces en ce moment, sauf que celui là, on n'en parle pas ! 

Le pire... le pire... C'est qu'à cause de ce foutu virus, je me retrouve à critiquer des critiques.
Total paradoxe ! 
Heureusement que je ne pilote pas la Doloréane.

Je ne connais qu'un remède : 
LEAVE HER ALONE ! Britney !!! 

En bref, balayez d'abord devant votre porte et cessez de vouloir imposer vos goûts et vos cases (parfois en moins). 
Votre avis, si on ne le demande pas, c'est peut-être et même sûrement parce qu'on n'en veut pas. 
Grosso merdo (selon moi) : Ne fais pas aux autres ce que tu n'aimes pas que l'on te fasse. 

A la façon DBZ, appliquez la fuuuuuuuusion ! de vos connaissances et de vos expériences afin d'éviter de chopper la connarditude. 
Aiguisez votre sens critique plutôt que vos critiques. 

Aurélie.