De la nécessité de...
almodovaro
Pour le peuple Tsigane
Seulement parce qu’ils sont libres d’aller et de venir,
De vivre dans les bois ou décider de l’avenir
Qu’on leur fait malheureux…
Parce qu’ils dérangent des vieux
Ou ceux aux préjugés qui ont fermé leurs yeux,
On n’voit pas la beauté habitant leur culture
De rêves et de gaîté, de fierté, d’ouverture
Sur le monde des esprits, la vie dans la nature !
On sépare des familles, des enfants des parents,
Et quand on les expulse, on les rend plus errants,
Alors qu’ils ne demandent qu’à vivre en paix ici !
Le 13 avril 2013
Oui, merci...de la nécessité de le dire et de le faire savoir, surtout après les propos affligeants de Manuel Walls ! Il devrait présenter des excuses, à mon avis.
· Il y a plus de 11 ans ·Antoine
almodovaro
À dire !
· Il y a plus de 11 ans ·garance--2
Merci Dimir-na, pour ta belle philosophie et ton gentil commentaire ! Antoine
· Il y a plus de 11 ans ·almodovaro
Le philosophe sait que les frontières sont idéologiques, qu'elles se déplacent dans le temps plus vite que les nomades. Le poète les a définitivement gommées, sans jamais gommer l'existence d'un seul être. Tendresse, Dimir-na
· Il y a plus de 11 ans ·dimir-na