DEUX FOIS VINGT ANS APRES

René Kalfon


Deux fois vingt ans après, tu t'en remets à ta mémoire et tu te remémores le moment où tu te dis à tort ou à raison : « C'est mort ». Tu t'en remets à ta mémoire du match et tu te dis qu'on ne s'en remet jamais.

Deux fois vingt ans après, tu te souviens et tu te dis : « La finale, c'est quand tu la perds, même d'un point, que finalement elle a au moins un point commun avec la vie ».

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