Donnez-moi.

Aidez-moi je me suis encore une fois écorché la chair. Ca saigne de partout, je me noie dans ces flaquasse de sang, mon sang versé par saccage barbare. Alors pouvez-vous m’aider s’il vous plait, à me tirer avec vos bras fait d’or. Car je m’inonde, là, dans mes sanglots. Avalanche de mes larmes sur mon visage, sur mes mains, sur mes jambes. Acide, donne moi ta main, s’il te plait sort moi de ces eaux amers. Mon cœur pantelle, il ne sait plus où est le monde, le vrai. Celui fait de savon de bulle et de cochon en guimauve. Celui lui où la lumière ne brûle pas mais, illumine un sourire. Celui où un corps nu suffit pour trouver beauté. A la place je n’ai que noirceur, s’en doute depuis que je t’ai perdu mon Amour c’est vrai, je voudrais chasser l’opacité pour retrouver la poésie de nos désirs ardents. Mais mon Ame est tourmenté, elle ne voit que ta chevelure s’échappant. Mon dieu il me faut une lame, vite, là, maintenant, ou votre chaleur s’il vous plait. S’il vous plait, donnez-moi votre amour… ou je meurs.