Douceur Toscane !
Christian
Giovani Gianelli, après seulement deux semaines passés à la Clinique du professeur Lorenzo, recouvre une vigueur et une envie de vivre qu'il n'aurait jamais imaginé avant sa transplantation cardiaque.
Le professeur lui conseilla de se reposer encore un peu avant de reprendre ses activités. Giovani pris donc la direction de sa villa d'été en Toscane.
— Mélinda vous me torturez ! A vous voir ainsi dans la piscine gracile comme une sirène, alors que je suis condamné à rester sur le bord.
— Vous devez respecter les consignes du Professeur ! Pas de piscine avant un mois au minimum, votre cicatrisation doit être parfaite !
Giovani avait invité Mélinda pour continuer à lui prodiguer des soins personnels dans sa grande propriété.
Échaudée par sa mésaventure, elle avait néanmoins cédé aux arguments, surtout financiers, de ce quadragénaire richissime. Son charme et sa conversation brillante avaient achevé de la convaincre.
— Je crois qu'il serait temps de passer à table, Mélinda, vous ne pensez pas.
Le corps naturellement bronzé de l'infirmière étincelle au soleil, en sortant de l'eau. Essorant sa longue chevelure, elle accueille avec plaisir le peignoir blanc que lui tend Giovani. Il est de plus en plus troublé par le contraste entre le cou et le visage de Mélinda tel un buste de cuivre surgissant de ce peignoir.
Une table est dressée à l'ombre d'une tonnelle, un serveur vient leur servir coupe de champagne.
— A votre prompt rétablissement Giovanni ! Mélinda et son chamant employeur lèvent leur verre dans un rayon de soleil.
Après une collation toute méditerranéenne, Giovani invite Mélinda à prendre un café à l'intérieur au salon.
— Vous habitez un paradis M.Gianelli !
— C'est redevenu un paradis depuis que vous êtes là !
— Je crois bien que votre nouveau cœur vous fait tourner la tête, lui répond-elle en riant.
— Il faut absolument que nous visitions en détail ce paradis. Venez, allons découvrir la plantation d'olivier, en contre bas de la villa.
Un paysage d'une douceur infinie s'étend devant eux, au-delà des oliviers qui bordent la propriété. Les pins, au loin, rythment le paysage chatoyant.
Un chemin empierré les conduit à la plantation. Une volée d'escalier leur permet d'atteindre la plate-forme de la plantation.
A peine quatre marche franchies, Giovani Gianelli se porte la main au cœur et une grimace lui barre le visage.
— Hé, qu'est ce qui vous arrive, ? Questionne Mélinda en prenant le bras de Giovanni. Vous êtes fatigué, tenez asseyez vous ici en haut des marches.
— Je viens d'avoir un point de côté, c'était douloureux !
— Laissez-moi prendre votre pouls, je vais poser ma mains sur votre cou, c'est plus sensible pour ressentir les pulsations.
Le contact avec la peau du beau quadragénaire lui déclenche une véritable décharge électrique, mais elle tente de se maîtriser, et perçoit les battements puissants et réguliers du cœur pulser sous ses doigts.
— Je ne pense pas que ce soit votre cœur qui vous cause problème Giovani, votre électro de ce matin était normal et votre tension parfaite. Je pense que ce sont les muscles des pectoraux qui tirent sur vos côtes, la cicatrisation fait son effet, cela peut-être parfois douloureux. Allongez-vous dans l'herbe cela vous détendra un peu.
Mélinda accompagne ses paroles du geste et allonge Giovani en retenant sa tête avec sa main droite. Sa position dominante lui permet de plonger dans les yeux bleus magnétiques de GIOVANI. La main de celui-ci à son tour s'approche de la nuque de Mélinda et leurs lèvres se soudent dans un baiser torride.
Le bel italien retrouve toute sa vigueur, sa bouche brulante couvre de baisers la gorge tendue de Mélinda. Il l'a renverse à son tour dans l'herbe sous les oliviers, il écarte délicatement le chemisier de la belle infirmière et fait jaillir des seins gonflés de désir. Délicatement il vient titiller de la langue les tétons qui virent au rouge sous l'afflux de sang. Il retient un violent désir de les mordre à pleine dents.
Ses baisers enflammés descendent sur le ventre brulant de Mélinda et ses doigts s'insinuent sous sa délicate culotte de soie.
— Oh non ! Une appréhension saisit Mélinda, ses règles vont arriver d'un instant à l'autre et son bel italien achemine ses baisers au cœur de son mont de venus.
Mais les gémissements et les mains de Mélinda tirant les cheveux de Giovani ne font que le conforter dans son objectif de s'abreuver au calice qui vient de s'offrir à lui en écartant la douce culotte rose.
Un coup de langue humide lui ouvre des lèvres gonflées de désir qui laissent enfler un joli bouton de rose.
Le baiser suivant lui laisse un gout de sang dans la bouche, mais loin de le repousser, il en ressent soudain une appétence trouble. Saisissant les fesses de la belle infirmière à pleines mains, il enfouit son visage et sa bouche entre ses cuisses en sucent avec volupté le sang des menstruations qui s'écoulent avec le liquide lubrifiant du vagin. Jamais il n'a connu un tel plaisir, le liquide qu'il avale semble lui décupler ses forces.
Mélinda ne sait plus si ses hurlement sont de plaisir ou de douleurs, Giovani semble vouloir l'aspirer toute entière. Les spasmes de l'orgasme sont tellement violent qu'elle en défaille presque.
Giovani inondé par le flot des menstruations, continue de lécher tout le liquide qui s'échappe du sexe béant de la belle.
Mélinda, complètement affalée sur le dos, ouvre des yeux terrifiés quand Giovani s'extrayant de ses cuisses, vient l'embrasser, le visage ensanglanté avec son propre sang, elle le repousse de toutes ses forces.
— Mais quoi qu'y-a-t-il Mélinda ? On dirait que je vous fait peur !
— Votre visage, il est en sang !
Giovani passe ses mains sur sa bouche et découvre le sang qui coule, mais il sait déjà que ce n'est pas le sien, et qu'il a pris plaisir à l'absorber.
— Mélinda je suis désolé mais je n'ai fait qu'accompagner votre désir, je ne me suis même pas rendu compte que vous aviez vos règles. Giovani tente comme il peut de s'essuyer le visage avec un mouchoir pour se recomposer bonne figure.
— Mais vous pourriez me rendre la pareille. Sur ces paroles il s'étend sur le dos, tout en posant la main de Mélinda sur son sexe tendu à craquer sous son pantalon de flanelle grise.
Celle-ci, encore sous l'effet de l'orgasme, dégage le pénis de l'italien, l'engin qui se retrouve entre ses mains lui semble vraiment trop gros pour être porté à la bouche, aussi chevauche-telle ce totem pourvoyeur de plaisir. Encore chaude et humide son vagin engloutit sans peine le sexe de l'Italien.
Mais soudain, voulant se relever pour imprimer un va et vient à son bassin, elle ne peut faire ce simple geste. Le sexe de Giovani ne cesse d'enfler dans son corps et de distendre ses chairs, le bref instant de plaisir se transforme en une douleur intense, comme si pieu énorme s'enfonçait dans son sexe.
Son regard s'embrume sous les larmes de la douleur, elle ne peut apercevoir le visage de giovani grimaçant tel un diable sortit de sa boite. Lui-même partagé entre plaisir sauvage et douleur renverse Mélinda, il la chevauche comme une bête féroce, ses propres grognements couvrant les cris de la pauvre infirmière.
Cherchant à s'arracher au ventre de Mélinda, le diable qui vient de s'emparer de Gianelli provoque une telle hémorragie chez elle qu'elle l'expulse de son vagin. La vue et l'odeur du sang déclenche une folie meurtrière chez l'italien.
Se précipitant sur le sang jaillissant du sexe de Mélinda, il l'écartèle encore plus et commence de la dévorer, comme l'a déjà fait à plusieurs reprises la bête géante dont il porte le cœur.