Du virtuel au réel, ou quand le fantasme devient réalité.

luc-mandoline

Une fois de plus à l’hôtel pour le boulot, j’allume mon ordinateur portable et me voici connecté sur un de ces fameux forums pour adulte, à chercher une partenaire pour une soirée , une grande salle de tchat où chacun essaie d’attirer une femme un messagerie privée, tout le monde y va de venter sa marchandise, histoire de ne pas faire comme les autres, je dis que j’ai un micro-pénis et que je cherche une femme frigide, l’humour parfois peut tout faire, la preuve voici qu’une dénommé Sandy me contacte en privé, me dit qu’elle est frigide et moche, nous commençons à discuter la fille est sympa et à l’air sur la même longueur d’onde que moi.

La conversation descend très en dessous de la ceinture , elle m’explique qu’elle est avec une amie et qu’elles délirent cul un max, au fils de la discussion, je comprends que nous sommes dans la même ville, je leur propose de se rencontrer , elle me dit qu’elle est avec sa copine, je lui réponds qu’il n’y a pas de problème, que je ne suis pas jaloux, que je veux bien aussi sa copine. Je laisse mon numéro de portable en prime, si elles veulent, je suis libre toute la nuit.

Allez, je déconnecte, je rêve, ces deux nanas m'ont allumé c'est tout, putain, j'ai envie de cul, j’ai un lecteur DVD dans la chambre et j’ai vu un distributeur en bas, histoire de me trouver un film porno  et de me passer mes envies…

Merde, mon portable, numéro inconnu...

-Bonsoir, me dit une voix enjouée, bonsoir, me fait l’écho dans le lointain, on croyait que tu nous avais posé un lapin téléphonique. Remarque, normal, vu que tu as l’air chaud comme cet animal. (Et sa copine qui glousse par derrière. Au moins, elles ont de l’humour et n’ont pas l’air de s’ennuyer !) Alors, monsieur Jeannot Lapin, qu’avez-vous donc pour nous, dans votre escarcelle ?

- Plein d’idées en tout cas, mes toutes douces, mais laissez-moi me remettre de mes émotions. Je pensais sincèrement que vous étiez de petits êtres imaginaires, alors j’avais prévu autre chose pour ce soir. Mais je vois que vous avez au moins de très jolies voix, fraîches et enivrantes

- Et, en ce qui concerne Myriam, ma copine , un très joli corps, des beaux seins ronds proéminents et une jolie petite croupe bien rebondie. C’est une belle blonde aux yeux bleus, qui fait 90-60-90 de mensurations, j’entends déjà les boutons de ta braguette exploser.

-Je suis certain que ma Sanyne adorée est encore plus parfaite…

-Sandy, Banane. Remarque, une banane, ça peut être intéressant… Mais vous faites fausse route, mon ami : je suis bossue, difforme, vieille, ratatinée, et en plus j’ai une affreuse verrue sur le nez. (Et la dite Myriam d’éclater de rire derrière elle).

- Tu es tout ce que j’aime, et j’ai hâte de venir sucer ta verrue.

Ces  coquines  ont vraiment l’air tout excitées, un grand feu d’artifice de délire et une bouffée d’air frais. Mais comme les meilleures choses ont une fin, après cette demi-heure récréative, il nous faut bien conclure. Et entre deux « Tes petites gazelles attendent leur grand fauve » ou « Myriam a les seins qui dressent rien que d’entendre ta voix », elles trouvent tout de même le moyen de me glisser discrètement leur adresse. À moi de juger si celle-ci est réelle ou imaginaire, elles ne me laissent aucune garantie là-dessus.

Ce n’est pas loin  l'hôtel, dix minutes à pieds.  Allez, je tente le coup, on verra bien. Je me douche vite fait, me rase de près , parfum pardessus et je suis prêt. J’attrape vite fait la bouteille de champagne dans le mini bar de de la piaule et, ça peut toujours être un sujet d’entrée en matière, le  DVD porno au passage.

 Je ne sais pas pourquoi, je sens que je vais avoir l’air d’un con, mais qui ne risque rien n’a rien, alors je gravis les quatre étages quatre à quatre et voici la porte du milieu. Et puis merde… Mlle Sandrine P. Elles m’ont raconté n’importe quoi, ces petites salopes.

Je sonne, je ne sonne pas, je ne sais plus très bien. Il est presque minuit et après tout, zut ! je n’ai pas fait tout ce trajet pour rien, quand même. Alors je sonne, une fois, deux fois, trois fois. Sur le point d’abandonner, mais la porte s’ouvre comme par miracle alors que je m’engouffre dans l’escalier, une jeune femme blonde apparaît.

- Oui, monsieur ? Vous désirez ?

-Excusez-moi de vous déranger, je suis bien chez Elfy et Myriam ?

- Euh, non pas du tout, je pense que vous faites erreur.

- Pourtant je suis bien au quatrième étage, porte du milieu. Je les ai eue au téléphone tout à l’heure et elles m’ont dit de passer. Leur numéro de téléphone est le 06 xx xx xx xx.

-C’est possible, monsieur, c’est effectivement la bonne adresse, mais ce n’est pas ici.

-Et dans l’immeuble, vous ne connaissez personne de ce nom ?

- Je ne sais pas moi, je connais presque tout le monde ici, elles ressemblent à quoi, cette Elfy et cette Myriam, elles ont quel âge, elles s’appellent comment ?

-Ben, euh, je ne sais pas trop, euh, si, Myriam est blonde aux yeux bleus… Et je pense qu’elles sont assez jeunes.

-Et comme ça vous venez les voir en pleine nuit et vous ne savez même pas à quoi elles ressemblent ? En tout cas, je ne vois aucune jeune fille blonde aux yeux bleus dans tout l’immeuble, à part moi, évidemment, mais les miens sont plus gris que bleus… Je crois surtout que l’on vous a fait tourner en bourrique.

Mais soudain, dans l’échancrure de la porte, apparaît une autre femme, un peu plus pétillante que la première, en particulier ses yeux  qui étincellent. Chatains cheveux mi-longs, une magnifique paire de seins, et un joli cul, et surtout un air de vicieuse!!!

- Et moi, je ne connais aucune Sandy dans tout l’immeuble, à part moi, évidemment.

Et les voici qui éclatent d’un fou rire à réveiller tout l’immeuble, en observant mon désarroi. Les salopes, elles m’ont joliment piégé ! Et Sandy d’ajouter :

-Avoue que si c’était moi qui t’avais ouvert, tu aurais reconnu ma voix… Alors, on le fait entrer, Myriam, il n’a pas l’air bien méchant ?

Remis de mes émotions, j’ajoute :

-Si vous faites entrer le loup dans la bergerie, il pourrait bien vous croquer toutes les deux.

Et Sandy, toujours aussi alerte sur la répartie :

-Oh ! mais le loup a une grande gueule, à ce que je vois, mais a-t-il aussi une grande queue ? (En voici au moins une qui est à l’aise pour parler cul… Mais est-ce juste une allumeuse ?)

Voilà donc les filles qui rallument les lumières et qui sortent les coupes de champagne.

- Et qu’as-tu d’autre dans ta besace ? Oh ! le coquin, un films cochon ! Mais tu crois vraiment que des filles de bonne famille comme nous peuvent regarder ça ?

Assis confortablement sur le canapé, je les regarde évoluer toutes les deux, Sandy met le DVD et vient se coller à Myriam, qui est immobile près de la porte. J’ai la très nette impression qu’il y a un peu plus qu’une simple amitié entre elles deux. Et la voici qui commente ce qu’elle voit et je dois dire que les commentaires sont plus intéressants le DVD :

-Oh ! Quel chibre ! Même si je suis sûre que Estéban en a un bien plus gros. Regarde-moi ça, la noire, comme elle se fait brouter la foufoune. Oh ! je le crois pas, tu vas pas me dire qu’elle savait pas qu’il allait le lui mettre dans le cul, il lui défonce les fesses, j'adore, regarde, elle mouille…

Notez bien qu’elle tient la télécommande entre ses doigts et qu’elle en joue et en abuse. On ne voit pas le dixième du film, ou alors quelques passages en avance rapide. Mais bon, c’est vrai qu’il n’y avait pas grand-chose à comprendre de toute façon.

Pendant que Myriam nous sert une deuxième coupe de champagne, elle stoppe sur une scène. Cette fois-ci, ça a l’air de lui plaire un peu plus. La séquence se passe dans les cuisines d’un château et le maître de céans fait allonger une domestique sur une grosse table en bois plein, puis lui enduit le corps et remplit tous ses orifices de produits divers et variés. Une carotte, de la crème Chantilly, du caviar, de la confiture… Très américain, comme menu. Et voici ce brave homme qui lèche, qui lape, qui aspire, qui dévore ce savoureux déjeuner avec un appétit d’ogre. Ça traîne un peu en longueur, mais la fille a vraiment l’air d’y prendre goût. La voici même qui s’enduit le corps de nouveaux produits et se caresse avec la crème pâtissière. On termine par la boisson. Il lui remplit le sexe d’un délicieux breuvage dont il s’asperge ensuite le visage en en buvant la moitié.

Après, stop, plus rien à voir, les avances rapides reprennent, on coupe tout, on éjecte, c’est terminé. Et Sandy qui nous dit, aussi bien en s’adressant à moi qu’à Myriam, d’ailleurs :

-Ça vous dirait, un petit encas ? Nous avons tout ce qu’il faut dans le frigo, et même une ou deux carottes, je présume.

Et toujours aussi vivace, elle file comme une fusée vers la cuisine. Si elle s’écoutait, Myriam voudrait bien la suivre, mais elle lui demande expressément de tenir compagnie à leur invité. Du coup, je me retrouve seul avec elle. Elle est timide, gênée, fuyante. Elle s’assoit à l’autre bout du canapé et se tord les doigts. Je lui ressers une coupe de champagne. Et, l’alcool aidant, elle finit par se dérider un peu. Dieu ce qu’elle peut être perdue sans sa copine ! J’essaie de la faire rire, je lui parle gentiment, et tout et tout. Finalement, elle finit par m’avouer qu’elle se sent mal à l’aise dans cette situation, que c’est une idée de Sandy ce site de cul où elles surfaient. Je lui prends gentiment la main, en signe d’amitié, simplement pour la rassurer, je lui dis de se détendre, de prendre la vie du bon côté, que de toute façon, ici, personne ne lui fera faire ce qu’elle ne veut pas. Essayer d’aller plus loin la ferait fuir.

Justement, la voici qui revient, sa copine  avec dans les mains un impressionnant plateau de produits divers et variés. Je fais rapidement la place sur la table basse. Il y a vraiment de tout. des bananes, des concombres, des carottes, des cerises, des fraises, du Coca, des glaçons,de la menthe,  du miel et...une bombe de crème chantilly...

-C’est moi qui commence, annonce-t-elle avec entrain.

En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, la voici déjà nue. Je dis bien entièrement nue, aucun complexe, la bougresse, et c’est elle qui s’allonge sur la table basse. Je reste bouche bée un certain temps en détaillant son corps. Elle vraiment pas  mal. Des seins ronds, énormes, avec des gros tétons saillants. Une chatte toute rasée aux lèvres enflées et luisante d'excitation...

- Alors, Monsieur le loup, ce n’est pas le moment d’hiberner…

Et me voici donc à genoux à ses côtés, en train de lui badigeonner le corps avec la crème chantilly. Je la masse de façon de plus en plus appuyée, ce jeu commence à m’exciter. Du coup, Myriam nous rejoint et se met de l’autre côté. Chacun notre sein, et nous commençons à la manger. D’abord les épaules, le ventre, les seins. Puis les jambes, les cuisses et enfin sa chatte. Nos deux langues y vont de bon cœur, mais aussi nos doigts, nos lèvres, baisers collés, succions fatales. C’est désormais à pleine bouche que nous la dévorons.

Visiblement elle y éprouve beaucoup de plaisir, ses seins sont durs, dressés, son sexe est juteux et elle se cambre en se mordant les lèvres. Myriam a l’air d’être très au fait des points sensibles de sa copine, ce qui indique qu’elles n’en sont pas à leur round d’essai. Au moment crucial, elle se met carrément entre les cuisses de Clémentine et lui enfonce une banane en lui suçant le clitoris. L’autre jouit comme une bête par cette double stimulation. Elle éclate de spasmes incontrôlables tandis qu’un bout de banane à moitié écrasée est englouti par sa chatte.

À mon tour de me glisser entre ses cuisses pour aspirer ce morceau de banane au goût de mouille. Le goût de son jus m’excite au plus haut point et c’est à pleine bouche que je la dévore, en triquant comme un âne, tandis que Myriam lui lèche les fesses qu’elle a badigeonnées de miel. J'attrape les fraise, et j'en prend une, la chauffe dans ma bouche, puis l'enfonce dans sa chatte, sa copine me regarde faire en lui doigtant l'anus, je lui mets une deuxième fraise, puis trois, cinq et enfin huit....

Huit fraises lui remplissent la chatte, elle coule de mouille, je regarde Myriam :

-Tu aimes la confiture?

-Oui, pourquoi???

Je me relève et frotte ma queue contre sa vulve pleine et trempée

- Baise-moi!!! Enfonce-moi ta queue salaud!!

Je ne me le fais pas dire deux fois, j'écrase les fraises dans son vagin, elles ressortent sur les côtés, elle jouit comme une folle, je fais de long aller-retour dans sa fente, comme elle est bonne cette salope, je me régale, mais je n'en peut plus, je lâche tout, et lui crache un longue giclée de foutre dans la chatte, trois jours que je suis en déplacement, pas jouis depuis, je peux vous dire que la crème est onctueuse et en grande quantité!!!

-Tu aimes la confiture Myriam, vas-y, mange, c'est servi!!!

Elle vient entre les jambes de Sandy et d'une langue vorace, déguste ce mélange de mouille, de fraise et de foutre .Sandy  ondule du cul comme une chienne en chaleur, d'ailleurs ce cul, hum, je me glisse sous Myriam, et lui  lèche la rosette, dont la fraise a coulé dessus, puis doucement lui enfonce un concombre dans l'anus, elle hurle et jouis pour la troisième fois à l'affilée...

Quelque temps après, je deviens à mon tour l’objet de gourmandise. Mes tétons excités par la menthe, les glaçons sur mon ventre me font me consumer sur place. Puis les coquines enduisent mes couilles de Chantilly et mon  braquemart de Nutella et elles le dégustent à deux, comme un gros eskimo au chocolat. Même mon petit trou subit leurs outrages, se fait soigneusement enduire d'huile et pénétrer par une carotte. Hum, les gourmandes font durer le plaisir, ralentissent la cadence pour repartir de plus belle. L’une d’entre elles me sodomise avec la carotte ou une banane, tandis que l’autre me pompe le nœud.je sens que je vais jouir une deuxième fois, c'est maintenant un concombre que Myriam m'enfonce dans le cul, la salope, je grogne de plaisir, ça monte, je jouis…

La dernière à passer sur le billard, c’est bien entendu Myriam. Elle est déjà à point et tout excitée. Les poils blonds de son pubis sont tout luisants de mouille et ses bouts de seins sont durs comme du marbre. Alors cette fois-ci, Sandy et moi allons-nous déchaîner sur elle, l’aspergeant littéralement de tonne de produits, il y en a partout. Ses nichons,  couverts de Nutella. Le pubis englué dans le miel, son petit cul sodomisé par les cerises que sa copine lui enfonce, puis Myriam s'amuse à les faire ressortir, cela me refile une gaule du diable...

Voilà que Sandy attrape la bouteille de menthe, elle fait couler le sirop dans la chatte de Myriam, elle lèche sa copine débordante de menthe, et maintenant que son petit orifice est préparé, elle lui enfonce un concombre, elle pistonne furieusement l'anus de son amie qui a l'air d'adorer cela, moi de voir le somptueux cul de Sandy en levrette me donne qu'une envie, l'enculer profondément!

Je vais derrière pointe ma queue sur son petit trou d'amour et lui rentre ma pine brulante, je lui baise les fesses, ressortant de temps à autres afin de voir son cul dilaté, c'est quand je lui rentre une banane dans la chatte qu'elle jouit pour la quatrième fois, en même temps que Myriam, et moi, je me déleste de mon foutre dans son cul de reine...

Nous nous écroulons sur le canapé, souillé de nourriture, de sueur et autres produits de nos jouissances, Myriam m’attrape le menton, le tourne vers la commode où trône une webcam HD

-Souris Bébé, tu es en direct sur notre site internet… 

Signaler ce texte