Extase

Aloysius Isidore Dambert D'eaucloret

Ce matin je te sens indolente et fiévreuse,

Comme une chatte se donnant au soleil.

Tu es belle dans cette lumière vaporeuse,

Et tes courbes m'aguichent dès mon réveil

Tu sais ce que je veux, dans ton regard je le vois.

Pas de mots entre nous, tu pourlèches d'envies.

Je me lève bien vite, tu te rapproches de moi,

Tu te glisses entre mes jambes pour engloutir mon vit.

Ma queue se dresse sous l'empressement de ta langue,

Tes mains agiles caressent avec passion mes bourses.

Ta bouche avide aspire mon gland comme une gangue,

Tes dents coquines mordillent ma tige que tu retrousses.

Tes yeux brillant se lèvent vers moi pour que je te lutine,

Poursuivant avec délectation la divine succion de mon dard.

Avec ardeur tes mains s'agrippent à mes fesses, tu me butines,

Le plaisir est intense, la jouissance est immense et sans retard.

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