Fortunes diverses

René Kalfon

 Pierre écrivit son cri et Paul sa vie. Pierre vécut de sa plume mais une partie seulement et Paul de ses écrits et toute sa vie durant. Morale et conclusion : de son envie l'un vit et l'autre non. Et le troisième envie évidemment davantage le premier que le pauvre second.

Signaler ce texte