Fragonard, entre loup et renard
caro-line
Mon amour,
Faîtes tomber les verrous de votre prude image
Les femmes aussi jolies que vous ne peuvent rester sages.
Laisser moi pénétrer votre univers de soie
Et je vous donnerai d'irrésistibles joies.
Ouvrez, ouvrez-moi la porte de votre âme
Laissons frémir les cœurs, laissons brûler nos peaux.
Qu'importe les jaloux qui sans savoir condamnent.
Je serai votre amant, vous serez mon étau.
Laisser moi faire de vous ma douce prisonnière.
Fermons derrière nous les verrous de la geôle ;
Les hauts murs de velours, des autres nous isolent,
Laissons nous donc aller aux plaisirs de la chair.
Ô ma douce, ma prude, ma délicate amie
Je brûle de désir, d'envie de vous connaître,
De caresser vos seins, de fusionner nos êtres
Et de prendre la route avec vous pour la vie.