Générations.

Christophe Hulé

Les générations, voilà j'ai posé un mot, ou un concept, il va bien falloir broder autour.

Les générations s'en viennent et s'en vont, ben c'est un peu l'principe.

De l'âge de pierre à Chantal Goya, car tout bon historien doit bien poser des repères, ou des balises.

L'archéologie, qui n'en finit pas d'innover, dit comme ça c'est risible, enfin de se contredire.

Mais les Sumer-Akkadiens ont pondu des textes, car l'histoire commence où l'on peut lire, et tant pis pour les bouseux analphabètes qui ont précédés.

Les plaques tectoniques se foutent bien de nos pseudo certitudes.

Pompéi, Herculanum, Seveso, Bhopal, ouais je sais, je suis loin d'avoir épuisé la liste, faute de temps peut-être, bon OK, parce que je suis trop fainéant. 

Les « plaques tectoniques », parlons-en à nouveau, ça peut parler à chacun d'entre nous, du jour au lendemain tout s'écroule !

On peut bien dépenser des milliers d'euros à dépoussiérer les musées, de l'Homme, de l'Évolution, et encore beaucoup d'autres.

Mon sentiment, si qui que ce soit s'en soucie, mais je connais déjà la réponse, est que l'homme (sans majuscule, et c'est exprès) n'aspire qu'à jouir de l'instant, et gare à ceux qui osent prétendre le contraire.

Oui j'ai perdu le fil, comme toujours, mais j'ose dire ici que je m'en fous pas mal.

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