Héroïne

Je suis prit dans un cube de verre
Trois homme masqué me scrutent

A travers leurs loupe qui m’enterre
Leurs sourirent qui me buttent

Puis soudain la lumière deviens étanche
Je suis étouffé dans ce quadrilatère
J’aimerais pouvoir appeler mon ange
Et puis filtrer cette air

 Je suis comme la loupe que le soleil embrasse
Je suis en feu mon corps surchauffe en chœur
Avec les rayons qui détruit ma cuirasse
Sous la voix du vent j’inscris mes malheurs

Et puis tout à coup on me propulse dans les airs
Je vois le septième ciel et soudain le cube explose
Autour de moi des milliers de cristallins de verres

Scintillent et me suivent dans ma chute close

J’embrasse le ciel en plein vole
Les cristaux percent les nuages

Et laisse tomber la pluie désinvolte
Les éclairs fusent dans ma rage

Je descends et je descends encore vers le sol

Et j’aperçois enfin la terre d’où je viens

Je me précipite pour écraser mon col

La où je vais il n’y a plus de lendemain

Premièrement mon nez touche le ciment

Je sens mes os monter dans le firmament

Mes organes vitaux ce déchiqueter rapidement
Mon cœur et mon cerveau s’éteindre doucement

Maintenant là ou je vais n’est que lumineux

Je ne sens plus rien et je ne vois plus rien

Je n’arrive plus a voir les cieux

Là ou je vais et bien… il n’y a plus rien