Homo economicus

Djamel Cheniki

Sous l'étanche masque de notre insouciance, derrière cette apparence festive, se cache la plus horrible des misères psychologiques humaines : la quête de soi.

L'homo economicus post-moderne ne se définit plus comme acteur du changement mais faisant partie du processus de celui-ci. 

Une digitalisation tous azimuths, sensée libérer l'homme des carcans de la vie moderne, semble opérer un effet contraire ; le maître s'est mué en serviteur involontaire d'une machine qu'il a lui-même conçue !

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