Joies

gun-giant

La plupart du temps, il demeure des zones, des parcelles de soi qui semblent soit quelques peu anesthésiées, soit labourées de graviers, soit carrément aux abonnées absentes. Vous avez (vous venez même) d’expérimenter une joie insolente            (nettement plus kiffante qu’une chance insolente) et elle ne vous a pas envahi tout ENTIER. Vous ne parvenez pas à la distiller, instiller, en tout vous, en vous tout veux je dire ; vous n’arrivez pas à obliger tout le corps à en prolonger la plénitude…

Rares demeurent donc les occasions d’un corps tout plein empli de joies extrêmes. D’autant plus urgent ou précieux que d’en connaître les vraies méthodes. Pas la joie en 10 leçons mais la joie permanente et malgré tout (même des donneurs de leçons !). De votre fait à vous et on a déjà parcouru la scandaleuse cruauté universitaire  (nommée individualisme méthodologique) pour qui tout est de la faute de la personne isolée, au point qu’elle ne peut qu’avoir inventé tout l’univers et l’environnement  et jusqu’à la société. Puisque ceux- ci n’ont jamais le moindre impact nulle part et sur quiconque. Et comme chaque individu a le droit à son « tout est de la faute de la personne isolée » cela représente beaucoup d’univers parallèles qui NE SE TOUCHENT jamais. Est-ce réaliste ? Un tel effondrement utopique (et les pensées dominantes, elles, puent l’utopie permanente à plein futur : montrez- nous en une seule qui soit durable !!!) nous dégage (par décramponnements successifs ) de son « emprise » toxique. Fait tout de sablages, de grattages, d’inflammations, de décapages, de frottages ou ravalements, inutilement douloureux …

Ce dont nous nous auto-convainquons pareillement (avec beaucoup de « blancs » si peu concluants, soit de refus obstinés de débats, d’analyses , de totaux têtus et de synthèses) d’appartenir au « confort » technique n’est – ce pas, en fait, un marché de dupes ? Ne gagnons- nous pas de ne perdre tout sur l’essentiel ? La joie n‘atteint-elle pas, plus souvent, un niveau plus moelleux, où le confort qui paraît (parfois !) fonctionner sans nous – manque total de réconfort, oui ce réconfort deux fois plus fort que ce confort glacé…LA JOIE EST FAITE DE RIENS. Ces « riens » de plus en plis difficiles à concrétiser !!!.

C’est le genre de bilan (non comptable) qu’il devient urgent de faire. Les enjeux MAJEURS ne sont plus du tout économiques. Cette folie méthodologique furieuse (qui hypostasie la seule si minable économie qui ne cause plus que des problèmes sans même résoudre la virgule d’un seul !!!) nous entraine à la ruine de nos vies intérieures. Faut être un vrai voyou dans la tête pour s’effondrer à vanter, encore, un système aussi bestial….

Et qui transcende toutes ces immenses souffrances collectives, ces hurlements individuels qui emplissent nos ciels (oui qui transcende ! comme s’il/elle avait un canal direct avec le ciel !  ) qu’en dit- on ? Ben on n’en parle même pas. Comme si connaissant un bon médicament on s’en privait tous. On ? Y’aurait pas, plutôt, des initiateurs à ces boursouflures ? LA JOIE DEMEURE REFRACTAIRE A TOUT ARTIFICE.

Le fond du fond de l’époque n’est-il pas que la majorité ne s’intéresse qu’à des êtres sans épaisseur, sans profondeur, sans issues, sans accès, sans réels intérêts, sans aucun chemin qui les traverse, sans aucun but ni dessein, sans le moindre enthousiasme pour autrui ; des individus si faciles à quitter et trop glissants à retrouver. Bref, sans soleil intérieur. Tout à l’inverse, combien d’êtres m’agrippent en permanence ? Beaucoup ! Aucun de ces êtres médiatiques. Uniquement les êtres mystérieux de la foule…Un sens ? LA JOIE RESTE UN ELAN DE PURETE.

Dans ces trois acceptions (et quelques autres), la joie existe (ses accès sont hyper discrets pas d’accès faciles justement - mais ses expressions très publiques et irradiantes) heureusement que la joie existe - nous lui aurions dédié un complet site internet  freethewords.org. Mais c’est tout le contraire d’une pilule qui vivrait la guérison à votre place, la joie. Il s’agit d’un effort intérieur, d’une construction alchimique de vos émotions et sentiments, de postures physiologiques, tout autant que de pensées d’amour…Une complète expérience qu’il ne suffit pas de lire mais de vivre complètement soi-même. Afin de se l’approprier. S’approprier les qualités la laisse inépuisable ; la sagesse ne peut conduire qu’à protéger les « propriétés de la matière » plutôt que de, puérilement, détruire celles- ci par l’indéfendable propriété jusqu’auboutiste individuelle. S’il est un lieu où l’intérêt général a un sens c’est ici : ne tuer pas les propriétés de la matière avec de disproportionnées propriétés économiques qui N’ONT AUCUN SAVOIR….

Bref, la joie commence toujours par j’oies, j’oies, oui j’entends beaucoup mieux. J’ouïs, j’ouïs – je vous entends très bien. Etape incontournable : afin de « s’entendre » eh bien ! faut commencer par entendre le son/sens des mots…Ensuite  (à  suivre)…

Toute mutation ne devient-elle pas facilitée des synthèses de synthèses de synthèses qui nous résument la route, nous aplanissent le chemin et nous ouvrent aux quatre phrases qui vont tout changer. En commençant, tout simplement, par le début….

Au début était la joie. Certain (e)s ont su la garder, malgré tous les obstacles. Bizarre que tout le monde ne les ai toujours pas écouté. Donc « entendu ». Un peu comme si vous avaliez la notice au lieu du médicament.

Et, qu’ensuite, vous vous plaigniez…le discret persiste.  

(à suivre) 

ci- joint un texte quelque peu mystérieux (reçu par mail) qui rend, quelque part, après un petit voyage intérieur – vos yeux joyeux, oui vos joyeux yeux

Vous connaissez le mouvement NO à NOël ?

De plus en plus tôt dans l’année nous nous voyons piétiné(e)s par la dépravation commerciale. Ils nous annoncent que Noël va avoir lieu. En fait, il n’a jamais lieu – à peine , le dernier paquet est déballé qu’il a disparu sans avoir existé dans le cœur des êtres humains, ce noël. N’était-ce qu’une publicité commerciale ? L’éphémère de l’arnaque qui (elle !) demeure permanente !!!

Le Persan (des Lettres) a perçu que c’est la fête des enfants. Mais sur le mode de la pédophilie légale, le viol de leurs consciences ne peut y trouver aucun mot pour sa défense. C’est une débauche de mineurs, un flagrant abus de faiblesse – à, ainsi, quasiment torturer nos chérubins durant des mois. Juste pour une heure de cadeaux. Des mois pour ainsi dire d’affolements juste pour cela, n’est-ce pas user d’une masse pour enfoncer une épingle ? Faire du « profit » à ce PRIX ah ! ça non !!! En tout cas,  nous on « sent » pas ce genre de commerce dominant ! Et vous ?

Pas plus rationnel de faire la «fête des enfants », dans la discrétion, le calme et la dignité non tapageuse ? Tous les enfants pourraient être radieux sans que leur vision en soit corrompue dès la plus « tendre » enfance ? Moi, je fais partie de ces parents qui saignent à voir ainsi maltraiter et dégrader la prunelle de leurs yeux. Nos cadeaux PRINCIPAUX restent l’attention, l’amour et l’écoute (nos enquêtes nous ont prouvé que ce sont les 3 cadeaux préférés de TOUS les enfants). Et vous qu’allez vous ne pas faire pour Noël ?

Le commerce (si accro à ne nous faire que des cadeaux) pourrait entendre nos demandes : vos cadeaux seraient de nous en faire plus aucun (de votre sauce). Ne plus être engloutis sous ces publicités obscènes, quel soulagement. Ne plus recevoir des « injonctions paradoxales » (double binds) de rester des « êtres de bonne volonté » - alors que qui ordonne de telles unilatéralités ne montre (pour son cas) aucune bonne volonté  - ne nous paraît plus digne de rien, « son » profit n’est pas du tout de bonne foi etc…assez de voir la collectivité se déshonorer un peu plus chaque année !!!l

Le dérèglement nommé Noël s’analyse comme le scandaleux Noël des riches qui s’étale, visqueusement, partout. Bon, l’Histoire fut il crécha dans une crèche ; c’est dans une étable qu’il établit que tout ce qui est établi l’est, principalement, sur le fumier et le purin d’une étable. Et que les pauvres, sur Terre, sauvent bien l’honneur, représentent la lumière dans le froid…Ah bon ! ce n’est pas cela ? Noël n’est- elle pas LA fête des pauvres ? une telle spoliation (dans ce qu’elle est de barbare et d’indigne – Indignez vous !) – légalement soutenue - doit cesser. Le Noël que pour les riches, dans le cadre théologique de la religion (nous n’y connaissons rien – mais nous sommes bien renseignés !), s’avoue un dur blasphème, une flagrante hérésie, un inamissible schisme. Même là, le Noël que pour les riches reste insupportable et non DURABLE. Ils ont fait de Noël un vrai déluge de Noé, mais sans l’arche ni la source. Bref, RIEN ne permet que ça dure une seconde de plus…Ca ne peut, de la sorte, que cesser !!!.

Le Noël que pour les riches ne passera plus !!!

Vous connaissez le mouvement NO à NOël ? il a déjà des millions d’adhérences adhérent(e)s… En anglais c’est mas christ less money, pour le Christmas, mas (plus) de christ donc et less money (va te cacher argent indigne !)…

Un tel mouve vous émouve beaucoup…

On allait oublié, nous avions trouvé ce pos it on it, le doc, quoi de berlouze :

1  - Ce mouvement est purement local. Toutes les initiatives demeurent locales. Personne n’obtient le droit de perdre le temps de sa position locale pour regrouper quoi que ce soit. Le regroupement de tous ces élans locaux créera le seul « global » qui vaille (celui que nul ne pourra détourner !). S’il vous reste un peu de raison, dites un peu comment les pouvoirs illégitimes pourraient stopper de tels feux d’artifices. Aux millions d’artificiers ?

2   - Personne n’a inventé ce mouvement, il est sorti de nulle part. Tout le monde peut se l’approprier sans s‘excuser ni se justifier. La « guerre des pauvres » qui (à 50% voire 80 %, selon les lieux et les personnes !) CONTRIBUE A TOUT BLOQUER ne fonctionne que sur des supposés egos (qui n’existent pas !) mais dont l’obsession d’en parler les crée de toutes pièces (et sans demander jamais l’avis de qui en est ciblé !!!). Gains incroyables de temps et de vitesse avec le multi – leaderisme

3  - Tout ce qui peut résulter d’une telle évolution collective ne peut produire que des bénéfices communs tellement supérieurs aux désastres individuels actuels. Pourquoi attendre encore une seconde ?

Ah ! vous connaissiez déjà le mouvement NO à NOël ? Vous en êtes au stade pratique…excusez – nous, alors, de vous avoir dérangé….

Sinon à suivre, faire suivre, sui…etc

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