la haine

little-wing


Je vomis votre merde, je vomis vos soi-disant belles paroles et autre foutage de gueule, je vomis vos airs maniérés, cette apparence de « propre sur soi », je vous vomis, vous et votre psychologie à la con. Je vous exècre, je vous hais, j’irais profaner les grands dieux si cela pouvait vous détruire jusqu’à la dernière molécule ! Il n’y a pas pire connard que vous sur cette planète, enfoiré de mon cul avec des faux airs doucereux. Vous n’avez même pas une once d’honnêteté en vous, tout ce que vous voulez, c’est le mal, la douleur des autres. C’est ça qui vous nourris, comme un putain de vampire. Et tout aussi increvable ! Vous êtes comme ces foutues saletés, on a beau les massacrer, il y en a toujours pour pourrir votre baraque et vous sucer jusqu’à la moelle !

Je vous hais comme jamais je n’ai haïs. Respirer le même air que vous est un supplice, rien que vous voir me rend folle de rage, le simple fait d’évoquer votre nom me donne des envies de meurtre ! Mais je compte bien vous laisser dans votre propre merde, vous laissez vous étouffer dans votre putréfaction. Crevez et allez en enfer, même Satan vous répudiera ! Et quand vous mourrez, vous vous rendrez compte à quel point vous êtes seul ! C’est tout ce que vous méritez, d’être seul ! Vous n’aurez ni amour, ni amitié, ni même la pitié !

C’est comme ça que nous autres, les victimes de votre présence, se vengerons de vous. Et j’irais cracher sur votre gueule, j’irais vous enterrez plus bas que terre et vous ne pourrez plus jamais vous relevez. Je vous vomis, ordure, vermine, salaud, fils de pute ! Si vous ne connaissiez pas l’enfer, moi, je vais devenir le vôtre. Vous ne pourrez plus dormir, marcher tranquillement dans les rues sans que vous ne soyez insulté, tout le monde saura qui vous êtes réellement ! Tout le monde saura quel être abjecte se trouve parmi eux ! Je vais vous le créer, l’Enfer, comme vous, vous avez tout fait pour que je ne puisse plus en sortir !

Crève connard, crève ! Disparais, fous-toi en l’air s’il le faut mais plus jamais, tu m’entends, plus jamais, où que tu ailles, tu ne pourras vivre sans tes cauchemars ! Je vais te coller aux basques, être dans ton ombre, le reflet de votre miroir jusqu’à ce que vous deveniez fou ! Je vais vous faire souffrir, tellement que vous allez me supplier à genou de vous achever !

Mais je suis une sadique moi, grâce à vous ! Tout le temps, tous les jours, je vais vous crever sans vous laisser partir pour de bon ! Vous êtes à ma merci maintenant. Je vais vous transformer en plaie béante que rien ne pourra guérir.

Plus jamais vous ne pourrez approcher quelqu’un, plus jamais… plus jamais…


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