La musique me berce.

La musique me berce sur mes lamentations. La vie me fatigue, je ne suis pas faites pour elle, à coup sûr. Je traverse le temps comme une monotone, cherchant de quoi se raccrocher. Mais je n’y vois plus rien, mes glandes lacrymal sont trop en pleurs pour apercevoir a brin d’Espoir. Alors je miroite dernière des rideaux noirs, invisibles. J’aimerais qu’on me tue, car je n’ai rien à faire dans cette vie où fleurissent des pétales de rose et de coquelicots, ma fleur préférée. Non je ne mérite que l’amertume et mon Ame pourrit par trop de désolation.je crois que je suis morte désormais, plus de cœurs, l’être en réparation. Tout en fini.