- Devine!- Quoi ?- Figure toi que j’ai rencontrais un artiste au talent fou et il m’a invitais à un buffet qu’il organise dans une des galeries les plus branchée de toute la France ! -Génial.- Mais tu sais que je suis prise ce soir, j’ai promis a Marc d’allait à sa fête. Etant donner que tu es ma jumelle tu pourras allait a ma place.- Non.- Allait s’il te plait ! Il est sympa, mignon et puis comme il est riche son buffet sera à la hauteur de ton ventre.Je me tourne vers elle.- Ce n’est pas un problème si je suis nul en peinture ?Elle bouge la tête vers la gauche puis vers la droite. Je me lève avec le sentiment que s’allait mal tournait mais bon tant qu’il y a de la bouf le reste n’est pas important.Je descends dans la rue, jamais Paris ne m’avait s’emblait aussi sombre et aussi sinistre, mon ombre sur le mur m’a fait plusieurs fois sursauter. Arriver devant la galerie, mon angoisse augmentais, une sueur froide glissa sur ma joue, je comptais retournais à la maison mais avant que je n’aie fait mon premier pas une main énorme se posa sur mon épaule…- Julie! Entrez mon ami, soyez la bien venue.J’entre malgré moi, et me colle un sourire sur la face pour être aimable. Etonnamment les murs était vide, l’artiste m’accompagna dans la salle du festin, à table huit personnes qui mangeait sans levé la tête même quand on m’a présentais. Je pris place près d’une dame dont les cheveux était trempait dans la sauce.-Où sont vos tableaux ?- L’artiste n’est pas arrivais, pourquoi vous ne mangeais pas ? Il me dit ces mots comme si je venais de le dérangeait, alors je me mis à mangeais en jetons de temps à autre un cout d’œil vers l’hôte et ses convives. Après quelque temps la dame d’à coté laissât tombé sa tête sur mon épaule, je la pousse, elle tombe par terre.-Laissais là elle fait toujours sa à la fin du repas.Et puis se fus le tour du monsieur qui buvait toute les deux minute, il se leva puis tomba il fit l’effort de se relever mais tomba à nouveau, les autres les suivirent. Bientôt se fut mon tour, je commençais à avoir la tête qui tourne, je pu voir l’homme qui m’avait ouvert la porte s’approchais de moi avec un chef cuisinier à ces côtés et me dire dont accent russe: - voici l'ariste! Avant de totalement tombé dans les pomme, j’ai pu entendre une voie dire : « Hansel et Grattelle, devait être croquant mais vous vous êtes trop cons »…