L'audace du pardon
dimir-na
Texte protégé
Raphia sous son pelage corps tissé d'humanité, ses veines entrelacées, sous ses rides encore fragiles à son sang, la mémoire fluide de ses miséricordes, adresse sa plus belle broderie, l'écharpe de ses pensées toutes volatiles, toutes enveloppées d'espoir, face au miroir, au dos de ses cristallins.
Soie sous sa chair, à nu plumage, ses hybrides respirations, ailes devenues son temps, ose auprès de ses eaux, l'offrande au firmament, le sujet, la récréation, le fardeau de son âme.
Rouge d'un miel bourdon, à l'excuse de son tarot, fane sa ligne de vie, l'évasion, ses atouts, ses présentes fleurs pissenlits, attendant le dernier chant du coq, la conserve en corps vocal, de sa première basse-cour.
Raphia soie, revient à l'os, l' aiguillage.
Double tendresse, Dimir-na.
Décidément Dimitri-Na, tes mots sont ciselés et laisse un espace, un temps, une respiration. ESt-ce le poète ou le philosophe qui s'exprime ? Allez, réponse très perso : les 2 mon général, les 2...
· Il y a presque 10 ans ·Bonnes fêtes et à très très viite
Stéphan Mary
Un sujet douloureux abordé sous un angle poétique, avec beaucoup de tact
· Il y a presque 10 ans ·marielesmots