Laure

Gladys Crepin

Histoire d'une rencontre inhabituelle


Le fils de mon amie





Ce matin en arrivant à l'agence, j'ai eu la surprise de recevoir un courrier de mon amie du Nord avec qui je bossais il y a quelques années. Elle m'écrit par courrier interne par souci d'économie la garce. Elle n'a pas confiance au net et me dit que les e-mails ça traînent. Elle sait que le papier, je le détruis après lecture.



Donc, elle me parle de sa vie en général, rien de bien folichon en ce moment, calme plat d'automne me dit-elle!

Non, c'est de son fils qu'il s'agit. Il a 13 ans et va avoir 14 ans en mars. Bien développé, il fait du sport et ce n'est pas de drogue qu'il s'agit, il est prépubère et elle dit que ça tourne à l'obsession le sexe pour lui.



Il n'arrête pas de se masturber. Elle l'entend dans sa chambre mitoyenne à la sienne. Il rentre du lycée et s'enferme de suite pour pratiquer sa branlette et il est plutôt bruyant. Il ne se préoccupe pas de se faire entendre. Elle l'a surpris une fois, elle est entrée dans sa chambre par inadvertance et il l'avait dans la main. Il a souri et l'a même lâché pour lui montrer. Il doit en être fier car il est bien pourvu le petit bougre.



Bref, rien que de très normal. Les parents s'inquiètent toujours de leurs rejetons surtout à cet âge. Elle me demande si ça peut être préjudiciable à sa santé ce qui lui semble un excès. Ça me fait sourire. Enfin elle me demande si je pourrais l'accueillir l'été prochain avec ma piscine et la grande maison. Je souris encore intérieurement car si elle pense ce que je crois, elle oublie mon âge. J'ai dépassé la date de péremption pour gamin avec mes 40 balais. Elle a le même âge pourtant, elle devrait savoir.



Bien sûr, j'accepte son petit branleur mais la préviens qu'à la moindre incartade, je le renvoie illico. Sur sa missive, elle me dit qu'à part ce petit penchant, il est très agréable, gentil et même, pense-t-elle, beau comme un petit dieu. Il n'a même pas d'acné me précise-t-elle.



Le mois de juin arrive et le mignon ne va pas tarder. Dès la fin des cours, elle me l'envoie. Il est en 4ème et n'a aucun examen. Il va pouvoir se taper sur le gland je pense aussitôt.



Le jour arrive et moi aussi à la gare. Le train est à l'heure et je surveille la descente du quai mais je ne vois pas d'enfant correspondant à cet âge quand soudain une voix m'interpelle par mon prénom. Je me retourne vivement et me trouve face à un tout jeune homme blond comme les blés, d'une belle taille, aussi grand que moi avec mes talons, 1,75 m au moins. Belle petite gueule en effet, elle n'a pas exagéré ma potine. Elle a pondu un beau petit mâle genre viking. Il a un sourire craquant, il va faire des ravages au pays des noiraudes avec sa chevelure d'or. Moi je pense avec mon esprit tordu à sa toison du bas. J'ai toujours aimé ce feu même au repos, passer sa main dans cette frisure appelle d'autres exercices. Le problème c'est que je suis attendue à l'agence, alors je lui présente ma filleule. Et je le laisse en bonne compagnie.



Laure



Je salue le garçon gentiment, et l'emmène vers la voiture de ma tante. Il marche à mon côté et je dois dire que je suis plutôt fière d'être accompagnée par ce beau garçon.

Nous roulons maintenant vers la maison, il regarde défiler le paysage, puis se tourne vers moi. Il me fait un très agréable sourire et je sens mon cœur faire un petit bond dans ma poitrine... Ma poitrine... Justement, il est en train de la regarder avec insistance... Mes seins sont assez petits et quand il fait chaud je ne mets pas de soutien-gorge. Les soubresauts de la route les secouent quand même. Je me sens un peu gênée. Je n'aurais pas dû mettre une robe si légère... Mes tétons frottent contre le tissu de la robe et commencent à se dresser. Mon Dieu, j'espère qu'il ne va pas le remarquer!



Je lui jette un rapide coup d'œil, et je vois que sa main est plaquée sur son entrecuisse. Le petit salaud est bien tel qu'on me l'a décrit!

Je ne lui dis rien, et m'applique à regarder la route. Mais je perçois à côté de moi un mouvement. Il est en train de se masturber! A côté de moi! Quel culot!

Heureusement, nous arrivons... Je gare la voiture devant le portail et l'entraîne dans le jardin. Je vais lui montrer rapidement sa chambre et le laisser se débrouiller seul.

«Tu m'as fait jouir» dit-il. Il me montre son pantalon de toile: en effet, une large auréole s'étale... Mon Dieu! Il a joui dans son pantalon!

Je devrais le gronder. Mais je n'en ai pas la force. Ce beau et jeune garçon qui s'est fait jouir à côté de moi me trouble. Je sens un tiraillement dans le bas de mon ventre... Je sens mes seins toujours dressés, presque à me faire mal. Quand je me caresse, j'aime serrer très fort mes tétons. Je les pince entre deux doigts et je presse, je presse... mon autre main s'active près de mon clitoris, elle frotte en faisant des petits ronds, et cela me mène à la jouissance... En ce moment, j'ai très envie de serrer entre mes doigts mes tétons... Et quand je pense que son caleçon est plein de sperme... Je ressens une envie folle de le suivre dans sa chambre! Mais le puis-je? Il n'a que 14 ans et moi presque 18 maintenant. Que penserait-il de moi?

J balbutie: «je vais te montrer ta chambre».

«Génial!» qu'il me répond, avec un large sourire.

Sa chambre est au premier. C'est une jolie chambre romantique, baignée de soleil. A côté, une petite salle de bains. Il jette un œil: «ah! Je vais pouvoir me rafraîchir!» dit-il. Et, à mon grand étonnement, il commence à enlever ses vêtements, en les balançant à travers la pièce. Mon cœur s'affole!

Il est déjà complètement nu devant moi. C'est à ce moment précis que j'entends revenir ma tante!

«Pas grand chose à l'agence, dit-elle, et j'avais hâte de revenir!»

Mathieu présente un grand sourire à ma tante. Il ne se cache pas du tout, je me sens gênée, je balbutie: «je vais vous laisser». Ma tante me remercie d'un clin-d'œil coquin. Je sors rapidement.



Il n'est pas en érection heureusement mais je remarque la taille de ses attributs. Je parviens à lui dire de passer au moins un short. Ma culotte est mouillée et j'ai honte, j'ai honte, mes jambes tremblent. Il m'obéit et je m'éclipse. Il me rattrape et me dit que je suis sympa en me faisant une bise sur la joue puis de suite sur la bouche. Je suis finie, à sa portée ; il peut jouer avec moi, se jouer de moi. Je lui appartiens. Il me sourit en me lâchant et je pars toute conne de m'être fait avoir par un môme

Il s'est branlé et j'ai joui plus que lui. Bizarre tout de même nos réactions. Là j'ai encore envie, je n'ai pas terminé. Je me précipite sous la douche pour épancher ce feu mais il est là derrière moi. J'ai une réaction de désespoir, je le giffle à toute volée. Ça le fait rire et il vient se blottir dans mes bras en m'embrassant. Je ne sais plus quoi faire, comment résister à cet acte qui a tout d'un viol et qui ferait rire. Je déclenche l'eau glacée. D'une main il règle la température tout en me tenant serrée de l'autre. Puis d'une main ferme, il m'écarte les jambes et me prend sur son gland. Ce n'est pas un geste de gamin, impossible ! Et voilà il est en moi, je sens son membre me fourailler l'intérieur. Il monte dans mon ventre et il me baise sous le jet puissant.

Je ressors de là pantelante et je le vois sur la terrasse avec pour tout vêtement le short que je lui ai donné ; Il me sourit et je fonds encore. Il me demande si j'ai un vélo. Oui j'ai un vieux clou de femme qui plus est. Il s'en fiche et va le chercher. Il le gonfle et me fait un clin d'œil en me disant qu'il va découvrir les environs. Je pense quant à moi que les mères peuvent cacher leurs filles, ça va faire très mal dans les volières.

Il revient vers 18h le sourire resplendissant. Comment résister à tant de charme. Je pense à sa mère qui m'a fait un coup et qui doit bien se marrer. Elle n'était pas à cheval sur la vertu quand on se fréquentait. On faisait la fête à Lille puis on partait en Belgique où elle allait arrondir ses fins de mois pour les gros besoins qu'elle avait. Elle allait faire des pipes à 20 euros. Elle en faisait une bonne dizaine par soir durant quelques jours.

Pour l'instant, il arrive avec des gambas énormes qu'il a dû trouver sur le port.



Il a vu sur la terrasse un barbecue et il va le préparer. Il s'occupe de tout le repas, dresse la table, un vrai petit homme d'intérieur. C'est vrai qu'il est gentil et prévenant pour une femme. Pendant que les gambas rôtissent, il se roule un joint ventru et me persuade de le déguster avec lui.



Je tire quelques tafs avec lui et je ne sais plus ce qui se passe. Il a enlevé son short et me déshabille . Le tapis de bain est à nos pieds, il me prend , m'allonge dessus et viens m'écarter les cuisses. Je l'attends mais c'est long et j'ouvre les yeux, il a sa tête entre mes jambes et m'écarte en douceur les lèvres de ma minette. C'est un excellent amant ce petit salopard et il baise toutes les femmes qu'il désire depuis longtemps. Je comprends plus rien et je laisse faire.

Mon dieu, dirait une femme oubliée, c'est un vrai celui-ci ! Il me suce en douceur et je l'entends dire que c'est bon, je lui attrape la tête et la frotte sur mon minou, alors tout explose. Je lui dis ouiiiiiiiiiiii tu es le meilleur que je connaisse.



Après, je perds la notion du temps. Quand je m'éveille, il est 10 h, j'ai fait le tour du cadran, je suis seule. Je me lève et je me prépare un thé. Des bribes de la soirée me reviennent à l'esprit. Il m'a mise dans le lit. J'étais sans forces épuisée par ce jeune mâle jamais rassasié. Je me souviens qu'il fumait sans arrêt et ça ne l'empêchait nullement de bander et bien raide, son sexe était collé à son ventre.

Quel amant et dire qu'il a 13 ans. Je ne pourrai pas suivre à un tel rythme, mais je vais essayer de le garder un peu mon jeune poulain. Même s'il lui faut aller ailleurs, j'ai envie de lui et il me fait rajeunir. Je dirai à sa mère que tout va bien mais elle n'est pas dupe. Je ne sais pas si elle fait toujours ses pipes de fin de mois, elle doit avoir moins de succès.

Tiens voilà le loup avec des croissants tout chauds. Adorable vraiment, le bas du ventre me travaille déjà. Il me fait une bise et le voilà qui repart, c'est une tornade ce gamin. Je sens qu'il ne va pas rester longtemps ici. Il me dit qu'il ne rentrera que ce soir.





Laure



Et moi, je vais passer la journée à l'attendre... Je n'ai que ça à faire. Je m'étends sur le canapé, me détends... Mes mains s'aventurent toutes seules sur mon corps... Elles descendent lentement vers mon ventre, descendent plus bas... Elles connaissent bien ce chemin. Mes doigts entrent dans la petite fente humide... Ils s'y accrochent et tirent vers l'avant, en haut. Je tire ainsi, en écrasant mon clitoris... C'est merveilleux! C'est Aurélie, ma copine, qui m'a montré comment faire. J'adore.

Je n'ose imaginer ce qu'il s'est passé entre Mathieu et ma tante tout à l'heure dans la salle de bains, mais à voir son visage radieux, j'imagine le pire. Ma tante est une femme de 40 ans qui n'a aucun principe, surtout en matière de sexualité. Elle profite et jouit. Je l'admire. Moi, quand je me caresse, je me sens coupable.

«Ça va? oui ça va... Il est mignon,n'est-ce pas?»

«Qui ça?»

«Ben... Mathieu...»

Ma tante revient vers moi. Elle m'observe avec attention. Inquiète, je fronce les sourcils.

«Il te plaît?»

«Euh...»

Elle se penche sur moi, un doux sourire sur les lèvres. Elle sent bon. Elle est très jolie.

«Tu devrais le séduire» me dit-elle à l'oreille.



Elle est vraiment très près de moi. Elle tourne légèrement la tête, sa bouche est devant la mienne. Je retiens mon souffle. Il y a deux minutes je me masturbais en pensant à un jeune garçon et maintenant je me sens bizarre devant ma tante. Je la regarde dans les yeux. Je ne le fais pas exprès, je lui dis silencieusement «viens», je me sens perdue...





Ma petite nièce

Elle est tout près de moi, je la vois frémissante, pétrifiée. Je lui prends la tête et je l'embrasse délicatement sur les lèvres qui s'entr'ouvrent pour un baiser brûlant enfiévré. Je m'écarte un peu et c'est elle qui revient pour se plaquer sur mon corps. Je lui glisse ma main entre les cuisses et la caresse jusqu'à sa petite culotte humide. Je la glisse sur le côté et lui entre un doigt dans le vagin, elle gémit et presque aussitôt commence à jouir. Je l'allonge, lui écarte les jambes, ote son string et plonge ma tête vers cette fleur épanouie. Je l'embrasse à pleines lèvres écartées puis remonte lui prendre le clito que je mordille à petits coups de dents.

Elle crie à présent et coule abondamment.

Je la prends dans mes bras et l'emmène dans ma chambre où je jette ses 45 kg sur mon lit... Viens me supplie-t-elle. Je la fais attendre et elle se caresse ouvertement devant moi. Elle a de gros besoin cette petite et elle est écartée pour accueillir ce qui se présente. Sa minette est gonflée et présente une belle prune que j'envie un peu. Moi, mon sexe est très fin, la fente est juste dessinée, elle recouvre une gaine qui renferme mon clitoris d'une longueur étonnante. Quand je suis bien excitée, il sort et se dresse tel un petit pénis auquel il ressemble par ailleurs. Il a même un gland que je décalotte. Cette particularité fait le bonheur de mes amants qui admirent ce phénomène et ne cesse de le sucer avidement, ce qui me fait jouir immédiatement. Je peux de cette manière avoir des orgasmes à répétition.

Laure jouit de façon désordonnée, je crains pour elle de la voir dans cet état. Je n'ai encore jamais vu une femme dans ce désordre des sens et elle n'a que 18 ans. c'est une sensuelle-sexuelle en apprentissage que j'aime beaucoup mais que je souhaite accompagner dans son apprentissage.

Elle est en demande et me l'a formulé. Sa famille est du genre guindé et elle se comporte comme une petite fille avec eux. Sa mère, ma sœur aînée est coincée de partout. Elle les craint surtout le père qui la surveille de près.

Toujours derrière son cul, il lui interdit son téléphone pour la nuit alors qu'elle est majeure.

Il lui faut s'émanciper mais elle n'est pas autonome, elle est à la fac et ne peut rien revendiquer, à la charge des parents. Ils ont accepté qu'elle séjourne chez moi le temps des vacances . Je vais l'aider au moins dans ses dérives amoureuses. Qu'elle ne tombe pas dans les pièges de la naïveté.

J'ai un ami, amant épisodique qui est doux comme une femme

, Son côté féminin est très développé mais il est bien doué au lit et se révèle un excellent amant.

Laure a eu une seule aventure avec un garçon de son âge ami de fac et ça l'a profondément déçue. Il s'est contenté de la pénétrer sans préparations d'aucune sorte, inexpérience totale. Depuis elle s'est bloquée pour les hommes mais elle a une curiosité et je ne désespère pas de lui faire découvrir un bon mâle capable de la faire exulter, ce ne doit pas être compliqué avec sa nature généreuse.

Je vais lui présenter le gentil Alex qui saura lui faire apprécier le genre masculin.

En attendant ce jour, elle couche avec moi dans mon grand lit et j'avoue que mes 40 années de vie parfois me pèsent devant l'ardeur de cette petite jamais rassasiée et qui me sollicite dès le réveil mais je ne peux rien lui refuser. Elle se lève et nue va préparer le café qu'elle m'apporte gentiment au lit. Elle est tellement belle, je ne puis résister à ses caresses précises et sa bouche gourmande. Les vacances se terminent et elle voudrait rester mais je refuse catégoriquement. Elle est inscrite à Paris pour ses études et doit réussir pour prétendre à la liberté qu'elle souhaite tant.

Je souhaite tant de bonheur à ce petit amour !



Merci à Laure pour sa participation intelligente



  • hahaha, je l'avais repéré que c'était encore Edgar ! Mais jusqu'où ira t'il pour se faire lire. Quand comprendra t'il que personne ne peut le blairer ici ? Espèce de malade !

    · Il y a plus de 3 ans ·
    Mm

    odess

  • voilà l'abruti d'Edgard Allan qui se métamorphose en femme! Piètre écriture, érotisme de pacotille et vulgaire

    · Il y a plus de 3 ans ·
    Mauve

    marivaudelle

    • Prétentieuse la biquette et évidemment sans aucun talent bise chérie

      · Il y a plus de 3 ans ·
      Default user

      Gladys Crepin

    • Aucun, mais vraiment aucun talent le mal aimé Edgar. Jamais vous n'y arriverez, jamais !

      · Il y a plus de 3 ans ·
      Mm

      odess

    • Gros bisous odess, je vois que vous m'aimez encore. Je vous ai dit que je ne suis pas libre. Désolée chérie je t'adore

      · Il y a plus de 3 ans ·
      Default user

      Gladys Crepin

    • Le mal aimé vous avez toujours été, le mal aimé toujours vous resterez. Personne ne peut vous blairer ici Edgar, personne....

      · Il y a plus de 3 ans ·
      Mm

      odess

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