Le piege.

stockholmsyndrom

Elle a ce don qui m’époustoufle

Ce don de me couper le souffle

Des qu’elle pose baiser sur ma bouche

En témoignera la grande ourse

Quand elle m’évite

Je médite

Quand je m’irrite

Elle me mérite

Elle fait de moi

Son seul cobaye

Une fée d’émoi

Qui me tiraille

Elle est la funambule du fil de mon équilibre

Je suis le noctambule, a son corps nu sous la lune

Elle m’a emprisonné au royaume des âmes libres

Je suis empoisonné par le fruit de ses yeux prune

Ma vie s’ennui sans nuits sans elle

Sa vie me nuis, brise mes ailes

Mais c’est en elle que je puise

L’inspiration de mon existence

Mes cauchemars s’amenuisent

Au contact de ma renaissance

 Elle a fissuré ma forteresse

Elle a mis mon cœur a nu

Je suis a découvert, couvert de faiblesses

Je ne suis qu’un homme, un homme foutu.

Signaler ce texte